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Au nord des États-Unis, une petite ville vit en marge de la société après la démolition de l'usine de sidérurgie qui employait la plupart des personnes.
Au Nord-Est des États-Unis, la ville de Braddock, ancien bastion sidérurgique, a aujourd’hui perdu de sa superbe. Pourtant, une communauté ébauche au quotidien une action solidaire pour dessiner l’avenir. Subtilement éclairé par des images d’hier et les voix des habitants de Braddock, survivants d’un passé révolu, unis dans leur volonté d’entreprendre et le désir de vivre ensemble, "Braddock America" est une allégorie. Le film raconte avec émotion l’histoire d’une ville américaine tout en racontant la nôtre : celle d’un Occident frappé par la désindustrialisation. Pourtant, sous les coups des pelleteuses, l’herbe pousse encore et derrière les façades oxydées, des hommes vivent toujours.
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" Un documentaire époustouflant sur une petite ville américaine, ancienne capitale de l’acier, devenue cimeti
" Un documentaire époustouflant sur une petite ville américaine, ancienne capitale de l’acier, devenue cimetière industriel.
Ce film est une baffe. Une baffe et une caresse. Comme une chanson de Woody Guthrie, Leadbelly ou Pete Seeger, comme un roman de Steinbeck, une série de photos de Walker Evans ou un film de John Ford.
Une claque qui vous remet les yeux en face des effets désastreux du libéralisme sans scrupule, une cajolerie qui réconforte en montrant la solidarité et la résistance qui s’organisent telles de fragiles lueurs au milieudes ténèbres. Ce film avait été présenté à Cannes par l’Acid, confirmant que cette section sous-médiatisée est l’une des plus fécondes du festival."
" Au fil d’un montage habile alliant de superbes images d’archives – qui font penser en quelque sorte à d
" Au fil d’un montage habile alliant de superbes images d’archives – qui font penser en quelque sorte à des fantômes de Braddock –, des témoignages des survivants de ce désastre et des situations de la vie quotidienne actuelle, la ville nous raconte son histoire et analyse finement les causes et les conséquences de l’effondrement de l’économie de l’acier aux États-Unis, dans les années 1970. Tout en nous renvoyant à notre propre histoire : celle des villes européennes frappées elles aussi par la désindustrialisation."
Jean-Claude Arrougé" L’approche sensible des deux cinéastes s’appuie sur des images d’archive utilisées à bon
" L’approche sensible des deux cinéastes s’appuie sur des images d’archive utilisées à bon escient. Loin de chanter les louanges passées de l’industrie métallurgique – qui reste une fabrication polluante et potentiellement dangereuse pour les ouvriers qui la façonnent – ils préfèrent s’en servir pour offrir quelques bouffées d’air dans le montage. Portron et Kessler organisent ainsi quelques allées et venues dans le temps, en donnant à voir et à éprouver ce qu’était la ville au siècle dernier (rues animées et commerçantes) par rapport à ce qu’elle est devenue aujourd’hui. (...) Le film nous laisse sur cette question simple mais vertigineuse : qu’en est-il de l’avenir ?"
Julien Marsa" Précis et rigoureux, Braddock America met en lumière les conséquences cataclysmiques d'un certain capitalism
"Par un glissement subtil entre de somptueuses images d'archives et les témoignages des survivants de cette apocalypse, Brad
"Par un glissement subtil entre de somptueuses images d'archives et les témoignages des survivants de cette apocalypse, Braddock raconte son histoire tout en racontant la nôtre, celle de nos villes européennes frappées par le même mal, la désindustrialisation."
Retrouvez le texte complet sur le site de l'ACID.
L'ACID est une association née en 1992 de la volonté de cinéastes de s'emparer des enjeux liés à la diffusion des films, à leurs inégalités d'exposition et d'accès aux programmateurs et spectateurs. Ils ont très tôt affirmé leur souhait d'aller échanger avec les publics et revendiqué l'inscription du cinéma indépendant dans l'action culturelle de proximité.
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