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Ultra connectés et adeptes des sites de rencontres, deux trentenaires parisiens, qui souffrent de solitude, peinent à faire une belle rencontre.
Rémy et Mélanie ont trente ans et vivent dans le même quartier à Paris. Elle multiplie les rendez-vous ratés sur les réseaux sociaux pendant qu'il peine à faire une rencontre. Tous les deux victimes de cette solitude des grandes villes, à l’époque hyper connectée où l’on pense pourtant que se rencontrer devrait être plus simple… Deux individus, deux parcours. Sans le savoir, ils empruntent deux routes qui les mèneront dans une même direction… celle d’une histoire amour ?
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"Paris, des trentenaires qui ont la tête à l’envers, des psys, des appartements et des trottinettes… Ouh l&a
"Paris, des trentenaires qui ont la tête à l’envers, des psys, des appartements et des trottinettes… Ouh là ! Deux moi coche a priori toutes les cases de la carte postale urbaine, branchée et pleine de clichés. Seulement voilà, ce bougre de Cédric Klapisch, 58 ans aujourd’hui, n’a rien perdu de son acuité. L’auteur du Péril jeune, d’Un air de famille et de la trilogie de L’Auberge espagnole n’a pas son pareil pour photographier une époque.
Mélanie et Rémy, ses deux héros pourtant jeunes, beaux et actifs, se sentent complètement perdus dans un univers fragmenté et anonyme. Solitaires au milieu de la masse. En perte de confiance dans un environnement ultra-balisé. En guise de solution, l’époque en question leur propose Tinder, l’application qui facilite les rencontres. Pour aimer, on clique. Les émotions ? Pas prévues. Ce film, c’est Chacun cherche son chat au temps d’Uber Eats et Amazon.
Cédric Klapisch parvient à imposer sa petite musique faite de sentiments contenus et de sourires discrets. Il évite la succession de gags, sait doser ses effets et prend le temps de capter le désordre psychique auquel Ana Girardot et François Civil donnent un visage parfait.On les suit séparément. Ils habitent des appartements voisins, se frôlent sans se parler, fréquentent le même épicier bienveillant (toujours impérial Simon Abkarian) et confient leur spleen à deux psys qui, une fois n’est pas coutume dans la comédie en France, vont contribuer à la solution sans sombrer dans la farce (Camille Cottin et François Berléand). Deux moi parle de dépression mais finit par enchanter le cœur."
"Treizième long-métrage signé Cédric Klapisch, Deux Moi embellit non seulement le Paris ch&eacut
"Treizième long-métrage signé Cédric Klapisch, Deux Moi embellit non seulement le Paris chéri de son créateur mais offre également à Ana Girardot et François Civil deux grands rôles tragi-comiques en droite ligne de leur fulgurantes carrières.
Chronique d’une solitude partagée pleine de tendresse et d’humour, Deux Moi est d’une rare justesse et d’une grande nécessité. Romance arythmique au dénouement désespérément attendu, elle fait preuve d’un optimisme charmant… non sans prendre un malin plaisir à tordre le coup à quelques clichés. S’il pouvait être difficile de croire que les tropes de la romance n’ont pas été essorés par tout ce que le cinéma compte de bluettes, Deux Moi fait preuve de suffisamment d’intelligence pour souffler un vent vigoureux sur ce genre poussiéreux.
Après tout, quel jeune actif n’a jamais eu l’impression que sa vie lui échappait ? Que peu importe le bruit autour de lui, les rires et les verres qui se multiplient il était irrémédiablement seul – condamné à voir jours et nuits s’étioler sans personne avec qui les partager. Mais l’être humain est ainsi fait que même accroché à un sourire de façade, il espère encore. Il croit dur comme fer qu’au détour d’une soirée dument planifiée sur Facebook, Twitter ou Instagram, il fera une rencontre qui se chargera de rallumer la lumière dans son regard. Peu importe les files d’attente à la poste, la ligne 13 et les glaces végan, il conserve l’espoir. Quelqu’un quelque part l’attend. C’est si simple que c’en est beau… Mais si c’était vrai ?"
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