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Ferdinand, scénariste et metteur en scène, est payé pour écrire un film sur son enfance. Mais il a la tête ailleurs, Elsa vient de le quitter...
Ferdinand, 30 ans, scénariste et metteur en scène est chargé d'écrire et de réaliser un film sur son passé "d'enfant-acteur". Tiraillé entre ses souvenirs de tournages et la dure réalité de sa rupture avec Elsa, il tente de reconstruire son histoire mais s'égare entre le passé et le présent sans parvenir à les démêler...
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Quel joli film ! Drôle, incongru, tendre, décousu. Avec apparemment, pour qualité principale, celle de ne pas se prendre au sérieux. Et de s
Quel joli film ! Drôle, incongru, tendre, décousu. Avec apparemment, pour qualité principale, celle de ne pas se prendre au sérieux. Et de sourire, avec une fraîcheur communicative, des choses graves, la fin de l'enfance, la fin d'un amour. Plus, en prime, mais toujours sur le mode ironique, de la création, et surtout du cinéma, côté coulisses, plateaux, envers du rêve...
L'histoire ? Il faut, certes se cramponner pour la suivre. Il y a bien un film directeur, accroché à la patte du héros, Ferdinand : scénariste et metteur en scène, il est payé pour écrire un film sur son enfance. Une enfance déjà cinématographique, puisque, petit garçon, il a joué un grand rôle dans un film. Mais ce fil à la patte n'empêche en rien Ferdinand, et son double le metteur en scène, de se lancer dans d'innombrables arabesques. Sur l'amitié, la trahison des femmes, l'écriture, la voiture, la passion, la foule des grands magasins, la fête foraine, la pingrerie des uns, la folie douce des autres, la tristesse ou la fête. Et sur Elsa surtout, qu'il aime toujours et qui ne l'aime plus...
Inutile de chercher, ici, de la logique : nous sommes au cinéma dans le cinéma, réalité et fiction s'emmêlent dans les caméras, passé et présent se donnent la main avec désinvolture, le petit garçon d'hier guide l'homme mûr d'aujourd'hui et la traîtresse du scénario conforte celle de la vie. Tout cela n'a aucune importance : le film coule, en chantonnant, cocktail acidulé de coq-à-l’âne, gentilles rosseries, élans graves se terminant en pirouttes.
On revit les années cinquante-soixante, l'époque des grosses voitures, des «stars» à la gorge pi-geonnante, on saute au rêve, dans la forêt de Mélusine, on se rétablit dans le bureau d'un gros producteur un peu borné ou sur le tournage du film d’aujourd'hui, on revient à l'enfance d'il y a vingt-cinq ans, on pleure Elsa qui a quitté Ferdinand, on retrouve Eisa, la vraie, ce n'est pas du tout celle que l'on croyait...
Vous n'y compenez rien ? Aucune importance. Le metteur en scène, Didier Haudepin, petit acteur prodige, à l'âge de son héros, de « Moderato Cantabile » au cinéma, de « la ville dont le prince est un enfant » au théâtre, raconte ses premières expériences en culottes courtes et, sans doute, ses problèmes d'aujourd'hui. En même temps, et avec le même recul lucide et plein d'humour. Il s'est adjugé, ici, le rôle de... son père, enfin, du père du petit garçon qui débute dans un film) et laisse la vedette à l'un de nos nouveaux « jeunes comédiens qui montent, François Cluzet. Qui est pour beaucoup dans le charme du film, un charme un peu voisin, en moins maîtrisé sans doute, de celui de « Vive la Sociale » de Mordillat, dont Cluzet était déjà le héros.
Autour de lui, les « seconds rôles » ont la même spontanéité gentiment ironique.Catherine Frot, délicieuse en mère un peu effarée d'un apprenti comédien de neuf ans, Lio la chanteuse au si joli sourire, Tom Novembre le copain un peu fêlé, et un irrésistible petit garçon inconnu, Maxime Mansion. Sélectionné à Cannes dans la section « Perspectives du cinéma français », « Elsa Elsa » n'est certes pas un chef-d'œuvre : au milieu, on risque même d'avoir envie d'abandonner, tant le scénario sautille cahotiquement. Et puis, la très jolie fin rachète tout et, en sortant, on a l'impression fort plaisante d'avoir pris un bon bain de fraîcheur.
Il fallait s’y attendre. Depuis la sinistre vogue du cinéma filmé, cette manière de ne mettre en scène que du déjà-cinématographié, il étai
Il fallait s’y attendre. Depuis la sinistre vogue du cinéma filmé, cette manière de ne mettre en scène que du déjà-cinématographié, il était logique que le tournage d’un film devienne, un jour, le sujet favori des cinéastes. Garre lhier, Haudepin aujourd’hui s’y sont essayés. La surprise, c’est qu’ils ont, à partir de ce sujet casse-gueule, réalisé chacun un film extraordinaire.Garrel, on s’y attendait. Haudepin, non. La magie comique et virtuose de son Elsa, Elsa est un ravissement.
Le ton est donné dès les premières images. Un producteur et un cinéaste s’engueulent. Le producteur (Jean-Paul Roussillon) n’est pas content du script. Le cinéaste, furieux, défend son os. C’est François Cluzet. Depuis Vive la Sociale, il est en train de devenir rapidement le Gene Kelly français : vivacité, souplesse, il sait se lhrer à une véritable chorégraphie de sentiments. Là, il est en train de s’énerver. Le fils du producteur (les producteurs aussi ont des fils qui veulent faire du cinéma) le presse de questions, dans un ascenseur :«ll n’y aura jamais rien de vrai dans votre histoire ?» Voudrait-il un rôle ? Il montre à Cluzet une photo de lui en culotte courte : « Vous vous rappelez de moi ?». La scène dure. Cluzet : « Cela fait un quart d'heure que nous sommes dans cet ascenseur et on n’est pas encore arrivés!» Elsa, Elsa n’est pas un film réaliste.
Pour le prouver, Cluzet, plus speedé-fou que jamais, s’enfourne la tête dans une photocopieuse pour se tirer le portrait. Une femme lui dit: «Te souviens-tu de moi, je suis ta mère ? » Quoi ? Un enfant, une scène, il est nul. Le répétiteur-assistant (Roland Amstutz) renvoie, furieux, le gamin ainsi que les dizaines d’enfants-acteurs et de mères qui attendent. Pour quel rôle? Alors qu’on est sur le point de comprendre que c’est celui d’une star enfantine, que cette star-enfant n’est autre que Cluzet-jeune (rappelez-vous Haudepin ex-enfant sexy dans le vicieux Les Amitiés Particulières), tout va rebondir.
Pistes brouillées, acteurs mêlés, Elsa, Elsa va dès lors naviguer à trois cents à l’heure entre des bribes colorées-baroques (magnifique photo d’Azevedo), des amorces de fiction, un vertige de plans-mélos, à tel point que la distinction réel-imaginaire devient problématique.
Il faudrait plutôt parler de sentimentalité somnambule. Comme si Haudepin rêvait tout haut à ses amours (passé-présent-possible-utopique) et qu’un Haudepin numéro deux, virtuose du dialogue littéraire et de la mise en scène en abîme, avait magistralement (et amoureusement) compliqué tout ça, dans une frénésie de construction-montage.
Entre le Manuscrit trouvé à Saragosse (Has) et Raul Ruiz. Baroque, donc.
On sort ivre, un sourire idiot sur les lèvres. On a vu un garçonnet à peine sorti des jupes de sa mère (Catherine Frot, fragile et émouvante) se précipiter dans celles de sa mère de cinéma (Anne Letoumeau, drôlissime) avec un appétit vraiment sexuel. Un technicien hilarant (Romain Bouteille). Un vrai metteur en scène, qui se substituera, in extremis, à Cluzet, lequel se révèle donc n’être qu’un acteur (Haudepin, parfait). Et surtout l’amour-fou du cinéaste pour celle qui, en le quittant, rend le film lui-même complètement cinglé, Lio. Sublime Lio.
Seule erreur de casting: dans la «réalité», le personnage que joue Lio (et que Haudepin «vrai» cinéaste retrouve pour un moment) est Christine Pascal. On tombe de haut. Vive la fiction et le rêve.
Enfant acteur, Didier Haudepin a tourné à peu de chose près un film par an durant son adolescence. On l’a vu dans Moderato Cantabile à neuf
Enfant acteur, Didier Haudepin a tourné à peu de chose près un film par an durant son adolescence. On l’a vu dans Moderato Cantabile à neuf ans, dans les Amitiés particulières à douze et dans les Assassins de l’ordre, à dix-sept.
Devenu réalisateur avec Paco l’infaillible (histoire curieuse d’un Espagnol au tempérament taurin qui vient au secours des villageoises pourvues d’un mari impuissant ou stérile contre rémunération), il a décidé de ne pas céder à la tentation de la rentabilité facile et de ne rien renier de sa personnalité, quitte à tourner assez rarement. Ce qui est tout à son honneur.
Elsa, Elsa, son second film, est à forte coloration autobiographique et nous fait pénétrer ces étranges laboratoires que sont les lieux où se fabriquent les films. Les plateaux de tournage, naturellement (comme dans la Nuit américaine), mais aussi La Fête à Henriette de Duvivier) et jusqu’au cerveau de ce personnage très compliqué (comme dans Huit et demi).
Où est la fiction, où est le réel, où finit le vécu, où commence l’imaginé. Didier Haudepin se garde très clairement à ces questions-là et son film brouille les cartes à plaisir (...)
On voit bien ce que Didier Haudepin a voulu faire : rien que de l’inachevé, du fugitif, du salmigondis modérément sentimental, de l'embrouillammi modestement ironique. Les silhouettes pittoresques se bousculent (Tom Novembre, une star des années soixante, une fée, un scénariste italien qui ne prend pas son métier au tragique, le preneur de son Jean-Claude Romer que les cinéphiles saluent au passage)..."
De comédien, Didier Haudepin devient scénariste et réalisateur. C’est toute cette expérience qui passe dans Elsa, Elsa, un film sur la mémo
De comédien, Didier Haudepin devient scénariste et réalisateur. C’est toute cette expérience qui passe dans Elsa, Elsa, un film sur la mémoire, sur le temps qui passe, sur la passion tendrement mêlée, du cinéma, d’une femme aimée, Elsa, Elsa de l’enfance perdue et retrouvée par la magie des images par touches nettes, drôles, charmantes.
La légèrete de ton est d’emblée convaincante, sympathique. Haudepin ne se pose pas en vétéran du métier cinéma. Au contraire, son film court avec aisance tout au long de la nostalgie du jeune homme romanesque et heureux de jouer avec ses propres souvenirs, sans se laisser vieillir.Ferdinand, le personnage central de Elsa, Elsa, apparaît dans ses deux âges. Il est le petit garçon qu’on aborde dans un grand magasin, au rayon lingerie dans lequel est plongée sa maman. Il a la taille, le visage du rôle, qu’on va lui proposer. Le petit Ferdinand entre donc dans l’univers de rêve qui se révélera aussi pour lui être le contact déterminant du monde adulte. En réalité le spectateur retrouve Ferdinand à trente ans, alors qu’il est scénariste à la recherche de l’inspiration finale sur le premier film qu’il tourne.On a beaucoup vu ce sujet dans les premiers films d’auteurs. Il se dégage de celui-ci quelque chose de tendre, de vivant dans la valse des souvenirs de l’auteur qui se méfie de la nostalgie.
Ferdinand, donc, tourne et ses débuts lui reviennent, comme des ponctuations avec des accents d’une belle fraîcheur. Et sa récente rupture avec Elsa va nourrir le scénario d’une Elsa fictive. Ainsi l’auteur se laisse mener avec bonheur vers l’irrésistible tentation de la réalité plus forte que l afiction, intimement mêlées dans le cadre du tournage ou éclatent passions et psychodrames, avec à l’arrière-plan le plaisir du jeu, le respect de la motivation profonde. Rien de banal. Et même si l’intrigue par endroits et vers la fin surtout, prend des allures débridées, on sent combien Didier Haudepin a appris du cinéma, en professionnel, qu’il fallait « cent fois sur le métier remettre son ouvrage».
Passé inaperçu lors de sa sortie, Elsa, Elsa, le deuxième film de Didier Haudepin, est une jolie comédie, fraîche et virevoltante. Cache-ca
Passé inaperçu lors de sa sortie, Elsa, Elsa, le deuxième film de Didier Haudepin, est une jolie comédie, fraîche et virevoltante. Cache-cache entre réalité et fiction, mise en abîme qui ouvre une réflexion sur la mémoire et la création, il y a là beaucoup de subtilité et d’intelligence ; pas mal d’autobiographie aussi : Didier Haudepin y dit, indirectement, la difficulté de faire du cinéma (...)Ferdinand, le créateur qui se souvient, c’est bien lui ; Ferdinand, le créateur qui se bat pour faire un film, c’est bien Haudepin à nouveau. Car l’homme sait se battre.
Son premier film (qui, curieusement, évite l’autobiographie, comme si Haudepin avait réservé pour plus tard cette matière si dense, et si peu accessible), il le tourne en Espagne : Paco l’infaillible, avec Patrick Dewaere (...) A quelques jours de la fin du tournage, la coproduction française fait faillite : le film sera bloqué pendant plusieurs années, ce qui tuera dans l’œuf sa carrière potentielle.Qu’à cela ne tienne : Haudepin développe alors son projet d'Elsa, Elsa (qui s’appelle encore Tendre Belvédère) ; pendant plusieurs années, il cherchera une production avant de se lancer quasiment seul; ce sont ces années de gestation qui rendent complexes les structures de l’histoire; mais ce sont aussi les problèmes économiques qui infléchiront le film dans certaines directions. L’économie de la production peut, en un sens, se lire dans le film. Et Haudepin ne sera pas au bout de ses peines, puisque, à trois jours du tournage, il perdra son actrice principale, Pascale Ogier. C’est finalement Lio (...) qui la remplacera.
Il y a dans Elsa, Elsa, plusieurs degrés de narration; le plus simple, qui n’est pas le plus direct, film, reste le domaine du souvenir : Ferdinand se souvient, et ces souvenirs doivent être la matière de son film; reconstitution soignée, images très années 50, où l’on voit Ferdinand à huit ans passer une audition (Didier Haudepin joue lui-même le père du petit garçon). On le comprendra par la suite, ce ne sont pas les images du film dans le film, mais uniquement celles du souvenir.Le premier degré de narration, celui où l’on voit Ferdinand se battre pour son script, puis poursuivre Elsa, paraît le plus évident. Il n’en est rien : certaines scènes (l’amitié avec Tom Novembre, par exemple) paraissent réalistes, mais, au dernier moment, Haudepin brouille les pistes; on s’en rend compte, par exemple, lors d’une longue scène dans un ascenseur. L’ascenseur descend et semble ne jamais s’arrêter : le narrateur, Fcrdinand-François Cluzet, signale au spectateur l’absurdité de la chose (au passage, Haudepin se moque des conventions de la narration traditionnelle, souvent peu soucieuses de vraisemblance).
Ces scènes où Ferdinand-Cluzet poursuit Elsa-Lio n’ont en fait pas de véritable statut dans la fiction : elles sont rêves d’écrivain, scènes tirées d’un script qui ne sera jamais tourné. On le comprend au dénouement, lorsque apparaît la vraie Elsa. Ferdinand tourne enfin son film ; sur le tournage, Elsa, interprétée par Christine Pascal, vient lui rendre visite; on s’aperçoit enfin que Lio est une actrice qui a joué Elsa dans l’imagination de Ferdinand; et que Ferdinand confond Elsa avec son amour de jeunesse, la comédienne de Tendre Belvédère qu’il admirait quand il avait huit ans...
Troisième et dernier degré de narration : le plus réaliste. « C’est un film entre Joyce et Peter Pan, expliquait Haudepin lors de la sortie. Entre les sortilèges de l’enfance et les méandres du discours intérieur. On n’arrive jamais à faire la part entre ses propres souvenirs et les souvenirs que d’autres ont pour vous. En outre, la sélection de la mémoire est souvent absurde. » Que le spectateur ne s’inquiète pas : s’il le veut, il pourra jouer à démêler l’écheveau d’intrigues, l’entrelacs de réalités que Didier Haudepin s’est amusé à rassembler. Mais le film fonctionne aussi sans cette gymnastique mentale : comme un simple rafraîchissement, dont tous les ingrédients ont été soigneusement préparés (de la qualité de l’interprétation - les seconds rôles sont formidables - à la musique, signée Eric Le Lann).
Elsa, Elsa manifeste un plaisir ludique rare dans le cinéma français; avec un talent, une ironie, une maîtrise qui méritaient un meilleur sort...
Il était si mignon, Didier Haudepin, quand il était petit, c'était lui que Jean Delannoy avait choisi pour le film « scandaleux » qu'il prép
Il était si mignon, Didier Haudepin, quand il était petit, c'était lui que Jean Delannoy avait choisi pour le film « scandaleux » qu'il préparait à l'époque : les Amitiés particulières d'après le roman de Roger Peyrefitte. Et c'est lui qui, le pauvre chérubin, avait Melina Mercouri pour mère dans l'adaptation que Bardem avait écrite à partir du roman d'Henri-François Rey, les Pianos mécaniques.
Depuis, les années soixante, Didier Haudepin a perdu quelques cheveux et beaucoup d'illusions. Il est passé de l'autre côté de la caméra avec Paco l'infaillible (où jouait Patrick Dewaere) et, pour son second film, a choisi de raconter l'histoire d'un petit garçon qu'un producteur remarque dans un grand magasin.
Afin de mieux semer des cailloux blancs sur la piste du souvenir, Didier Haudepin s'est réservé le rôle du père de l'enfant-vedette qu'il a été jadis. François Cluzet, lui, interprète le " double " de Didier Haudepin, un jeune réalisateur, ex-enfant vedette, qui s'apprête à tourner un film sur son expérience...
Elsa, Elsa s'identifie à ces poupées-gigogne qui se ressemblent, et s'assemblent, de plus en plus petites, petites... Malgré l'extrême sensibilité du narrateur, ou peut-être justement parce qu'il a trop mis de lui-même, de sa vie, dans ce film, il n'a pas réussi à prendre de distance avec sa mémoire, et l'on est parfois un peu gêné de violer ainsi son intimité...
Par ailleurs, la mise en scène de Didier Haudepin est agréable et les comédiens qu'il a choisis excellents : la chanteuse Lio fait ici des débuts remarquables et Catherine Frot (la mère du petit garçon) est délicieuse et drôle
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