Paris, été 1891. Armand est chargé de retrouver le frère de Vincent van Gogh, qui vient de se suicider, et tente de percer le mystère de ses derniers jours...
Paris, été 1891, Armand Roulin est chargé par son père, le facteur Joseph Roulin, de remettre en mains propres une lettre au frère de Vincent van Gogh, Théo. En effet, la nouvelle du suicide du peintre vient de tomber. Armand, peu intéressé par l’amitié entre son père et l’artiste, n’est pas franchement ravi par sa mission. Il part néanmoins en quête de Théo, qui demeure introuvable... au fil de son périple, il va se prendre de passion pour l'histoire de Vincent van Gogh et tenter de percer le mystère qui nimbe ses derniers jours... Véritable prouesse technique, le film a nécessité la participation de 90 peintres pasticheurs qui, à la manière du maître, ont repeint plan par plan les scènes tournées avec de véritables acteurs. Nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation 2017, le film a également obtenu le prix du public au festival d'Annecy.
"(...) le récit s’oriente vers une enquête sur la vie et la mort controversée du peintre (s’est-il suicidé ou a-t-il été assassiné ?) L’intrigue s’articule alors autour des témoignages de ceux qui ont bien connu Vincent Van Gogh (leurs souvenirs sont marqués par des flash-back en noir et blanc particulièrement suggestifs au milieu de cette myriade de couleurs), de faits historiques et des évocations plus ou moins réelles des événements qui ont conduit à sa mort. On se laisse alors conquérir par le suspense de ce polar bien mené, d’autant plus qu’il est impossible de départager le vrai du faux. Les quelques huit cent lettres écrites à ses amis et à sa famille, tout particulièrement à son frère Théo, alimentent des dialogues riches et fournis qui contribuent aisément à la vivacité des personnages et à l’harmonie de ce docu-fiction original. Une prouesse technique et artistique qui donne, même aux moins rompus à l’art pictural, l’envie de découvrir l’œuvre et la personnalité de celui qui passe aujourd’hui pour l’un des plus grands maîtres de son temps."
Claudine Levanneur
Culturebox
"La mise en images est l’atout du film, tant la ressemblance est forte entre l’œuvre originale et sa transposition, clairvoyante, comme si l...
"La mise en images est l’atout du film, tant la ressemblance est forte entre l’œuvre originale et sa transposition, clairvoyante, comme si l’artiste l’avait réalisé lui-même. L’identification est totale. Ils sont venus, ils sont tous là, Armand Roulin (l’enquêteur) et son père (le postier), le docteur Gachet et sa fille, le batelier, Adeline Ravoux, de l’hôtel où mourut le peintre, le père Tanguy, Louise Chevalier… Mais c’est tout le film qui évoquent ses toiles : les champs de blé, les ciels étoilés, la chambre de Vincent, le billard, l’église d’Auvers…"
Elisabeth de Pourquery
Le Journal du dimanche
"Un curieux objet que ce film d’animation de nationalité britannique et polonaise qui a été tourné en prises de vues réelles, puis chaque pl...
"Un curieux objet que ce film d’animation de nationalité britannique et polonaise qui a été tourné en prises de vues réelles, puis chaque plan (62 450) a été rigoureusement reproduit en huile peinte à la main à la manière de Van Gogh, en reprenant ses principaux motifs. Le résultat, éblouissant et hypnotique, force l’admiration tant on a l’impression de voir les tableaux du maître en mouvement. Tout en distillant une intrigue de polar pour revenir sur les circonstances mystérieuses de sa disparition."
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