Ce film ne peut pas être vu sur mobile et tablette.
Vous pouvez cependant le louer ou l'acheter et le regarder sur un ordinateur.
À Jakarta, un commando de policiers d'élite investit un immeuble tenu par un dangereux baron de la drogue. C'est le début d'un assaut particulièrement violent.
Au cœur des quartiers pauvres de Jakarta, se trouve une citadelle imprenable dans laquelle se cache le plus dangereux trafiquant du pays. Une équipe de policiers d’élite est envoyée donner l’assaut lors d’un raid secret mené aux premières lueurs du jour. Mais grâce à ses indics, le baron de la drogue est déjà au courant et a eu amplement le temps de se préparer. À l’instant où le groupe d’intervention pénètre dans l’immeuble, le piège se referme : les portes sont condamnées, l’électricité est coupée et une armée d’hommes surentrainés débarque. Piégés dans cet immeuble étouffant, les policiers vont devoir se battre étage après étage pour avoir une chance de survivre.
"(...) Croisement adroit du film de siège et de commando, porté par une dynamique très carpenterienne, avec son exposition limitée au minimum et sa manière d'entrer directement dans le vif du sujet, The Raid est un pur survival urbain dont la ligne de conduite est on ne peut plus claire: adrénaline, violence et lisibilité. Construisant son film tel un pur trip visuel, Gareth Evans n'en oublie pas néanmoins de traiter ses personnages avec sérieux, qu'ils soient bons, vilains ou à la marge, et à rendre captivante son intrigue certes basique, mais boostée par des séquences d'action bien enlevées qui balaient avec fracas les quelques trous scénaristiques que l'on pourraient trouver. (...)"
"(...) Gareth Evans ne fait pas seulement preuve de talent chorégraphique, il se révèle aussi un excellent topographe : le bidonville, décor unique, apparaît, dès le premier plan d’ensemble, comme un Léviathan dont il va falloir scruter et expurger les intestins (ce que Ridley Scott n’a pas pu, ou pas su faire avec la grotte de Prometheus).
Ainsi, la mise en scène d’Evans, à défaut d’être aussi gracieuse que celles de John Woo ou de Johnnie To, est viscérale. Elle vise à épuiser l’espace,à utiliser chaque centimètre carré du décor – dont on sent qu’une bonne partie du minuscule budget y a été dépensée –, ce qu’illustre parfaitement la scène du faux mur transpercé goulûment par un sabre… (...)"
" (...) Doté une mise en scène sèche et d'un montage dynamique, le troisième long du réalisateur/scénariste/monteur est un véritable plaisir à l'état brut imprimé sur celluloïd qui se déguste comme une bonne série de droite dans le buffet, un film aussi exutoire qu'un bon gros morceau de hard rock, où la tension monte étage après étage, ou l'on martèle du sbire comme Dave Groh martèle ses fûts (avec précision, puissance et furie) et qui ravive le doux souvenir du A Toute épreuve de John Woo pour la quantité d'action desservie minutes après minutes. Vous l'aurez donc compris, The Raid et son huis clos désespéré ne triche pas, et combine à lui seul un nombre incalculable de fusillades, de hurlements, d'os brisés, de gorges tranchées et de poignards plantés à faire pâlir dix années de films d'action made in Hong-Kong! (...)"
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