La petite Jeliza-Rose voit sa mère mourir d'une overdose sous ses yeux. Son père, Noah, ancien rocker héroïnomane, l'emmène dans une ferme décrépite au milieu de nulle part. Pendant que celui-ci passe ses journées à planer dans un fauteuil, Jeliza-Rose part à la découverte du lieu qui s'offre à elle comme un nouveau terrain de jeu, et s'évade en s'inventant un monde imaginaire. Quand son père meurt d'une overdose, il ne lui reste plus que la compagnie de ses quatre têtes de poupée, amies d'infortune. Jusqu'au jour où elle rencontre Dell, une femme étrange, toute vêtue de noir et portant un voile d'apiculteur qui lui dissimule le visage.
"Après un Frères Grimm émoussé par ses producteurs, Gilliam a eu plus de chance avec Jeremy Thomas, qui lui a laissé
les coudées franches pour traduire à l’écran la folie d’un roman de Mitch Cullin. Naturellement, tout n’est pas du meilleur goût dans ce conte gothique - dernier grand cinéaste baroque, Gilliam n’a pas le sens de la mesure -, mais
le contraste entre la sérénité du paysage des grandes plaines américaines et
la frénésie maladive des personnages
en décuple la force onirique."
Vincent Ostria
Le Nouvel Observateur
" On sort de là avec un sentiment persistant d'inconfort. Les images
sont sublimes, la mise en scène incroyable, les éclairs de poésie
inoub...
" On sort de là avec un sentiment persistant d'inconfort. Les images
sont sublimes, la mise en scène incroyable, les éclairs de poésie
inoubliables : Tideland provoque deux sentiments contradictoires. On
est pour, on est contre, en même temps. Ce qui, au fond, est excitant."
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