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Plusieurs garçons témoignent de leur vision de l'amour dans une cité de banlieue. César du meilleur court-métrage 2017.
Plusieurs garçons témoignent de leur visions des relations hommes-femmes dans une cité de banlieue. Tandis que la réalisatrice les filme dans leur vie quotidienne, où ils jouent constamment de leur virilité, leur vision de l'amour, extrêmement intime, se déroule en voix-off. César du meilleur court-métrage 2017.
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"Loin de se limiter à une image désespérante de l'amour, le film donne à son titre tout son sens dans sa seconde moitié, qui tire parti de l
"Loin de se limiter à une image désespérante de l'amour, le film donne à son titre tout son sens dans sa seconde moitié, qui tire parti de la parole lumineuse d'un homosexuel, ami de la réalisatrice. Puis partage l'intimité d'un jeune couple de la Cité des 3000 (Aulnay-sous-Bois), dans une chambre d'hôtel où ils passent le week-end, faute de pouvoir s'aimer au domicile de leurs parents. Oui, semblent-ils dire aux jeunes hommes du début, l'amour dans les « quartiers » reste possible. (...) De la violence misogyne à la possibilité d'aimer : tel est le mouvement ascendant de Vers la tendresse, film d'une grande beauté et porteur d'espoir."
François Ekchajzer"Selon les mots de la cinéaste recueillis par TV5 Monde, Vers la tendresse relève d’une « mise en scène de voix-off », qui interroge aussi b
"Selon les mots de la cinéaste recueillis par TV5 Monde, Vers la tendresse relève d’une « mise en scène de voix-off », qui interroge aussi bien la représentation de la masculinité au cinéma que le régime de croyance du spectateur (les personnes filmées ne sont pas forcément celles qui parlent). En s’aventurant avec tact sur le terrain de l’intime, Alice Diop tutoie également des problématiques plus universelles ayant trait à la place que l’on occupe dans la société. Qu’est-ce que la normalité ? La marginalité ? Quel poids de l’éducation dans notre rapport au monde, et aux autres ? Vers la tendresse embrasse tout cela à la fois, et bien plus encore, grâce à un subtil travail narratif et figuratif sur ces ces voix que l’on entend si peu, et que la réalisatrice a brillamment réussi à mettre en images."
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