Dans le Nord de la France vivent deux familles radicalement différentes : les Le Quesnoy, famille bourgeoise et catholique pratiquante et les Groseille, d'un milieu très populaire. Un jour, une lettre arrive chez les deux familles leur annonçant que, douze ans auparavant, deux de leurs enfants ont été échangés à la naissance par une infirmière...
Ça commence comme un conte de fées : il y a une reine, un roi et leurs beaux enfants, Pauline, Anaïs et Guillaume. Mais c’est plus compliqué que ça en fait... Chronique punk d'une émancipation, 'Pauline s'arrache' a été présenté à Cannes en 2015 dans la section A.C.I.D. Un film à l'énergie communicative.
Il est 5 heures du matin, à une terrasse de café, Léon s’assoit à la table d’Eva et lui demande un chocolat chaud. Il a 11 ans et ne connaît pas ses parents. Elle a 35 ans et pas d’enfant. Elle est libre, fantasque et mène une vie de privilégiée. Il est malin, sage et vit dans un foyer. Ils ne vont plus se quitter.
A 17 ans, Isabelle a les jambes inertes et déteste la terre entière. Son père, qu'elle ne connaissait pas, grand biologiste, a quitté son poste pour se consacrer, notamment, à l'éducation de sa fille. Mais, entre eux, la fascination côtoie la haine tandis qu'à l'extérieur d'étranges crimes se produisent comme si leur affrontement intime provoquait un réel et violent combat entre le Bien et le Mal.
Polo a 16 ans et les complexes d’un ado de son âge. Entre une mère alitée et une soeur qui rêve d'être miss, le seul qui s’en sort à ses yeux, c’est son père et il lui voue un respect véritable. Hélas, son père est femme de ménage et pour Polo ce n'est pas toujours facile de supporter les blagues de ses camarades.
Alex a quinze ans et vit seul avec son père, dans les coups et la violence, en révolte contre tous. Pour échapper à ce quotidien, Alex fait de l’aviron n’a qu’une obsession, gagner seul et à tout prix les championnats de Belgique. Son entraîneur, Sergi, et Muriel, la jeune fille dont il est amoureux, vont permettre à Alex de redécouvrir les valeurs humaines qu’il avait perdues.
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