"La France est notre patrie" est l’histoire d’une rencontre manquée entre deux cultures, deux sensibilités, deux imaginaires. Une rencontre qui a débouché sur une colonisation non exempte de brutalité alors qu’elle aurait pu éviter les guerres, le chaos et la destruction. Ce film, composé d’images d’archives, fait résonner à l’infini cette idée que "la France est notre patrie".
Des hommes viennent du monde entier dénicher leur bonheur d’entre tous les vestiges d’une casse automobile. A travers cet océan d’épaves à ciel ouvert, le monde se monte, et se démonte à chaque rencontre.
Retour à Détroit après 25 ans d’absence. A travers une enquête personnelle, Steve Faigenbaum nous dévoile les racines de la plus grosse faillite d’une cité américaine. Une histoire qui nous rappelle que nos villes ne sont pas immortelles…
12 fous formidables, drôles et tragiques, des quatre coins du monde, des caricaturistes, défendent la démocratie en s'amusant, avec, comme seule arme, un crayon, au risque de leurs vies. Ils sont: Français, Tunisienne, Russe, Américain, Burkinabé, Chinois, Algériens, Ivoirien, Vénézuélienne, Israélien et Palestinien.
Ils ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe et se retrouvent enfermés dans une prison à ciel ouvert, aux portes du vieux continent. Ils vivent partagés entre l’espoir d’obtenir un «laissez-passer» et la crainte d’être expulsés vers leur pays. Telles sont les trajectoires de cinq migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc.
Aujourd’hui, pour plus de 13 millions de Français, la vie se joue chaque mois à 50 euros près. Derrière ces statistiques, se livrent au quotidien des combats singuliers menés par des hommes et des femmes qui ont la rage de s’en sortir et les mots pour le dire. À leurs côtés, des bénévoles se donnent pour faire exister un monde plus solidaire.
Une enquête inédite à la rencontre des œuvres qui furent réalisées clandestinement dans les camps nazis. Le film dialogue avec les rares artistes déportés encore vivants et avec les conservateurs de ces œuvres. C'est une quête sensible entre visages, corps et paysages, pour interroger l’idée de beauté et éprouver ce qu’est l’honneur d’un artiste.
En 1928, sous l'impulsion réformatrice de Mustafa Kemal, le gouvernement turc renonce à l'alphabet arabe pour adopter l'alphabet latin. Enquête expérimentale et poétique, "La Révolution de l’alphabet" croise les souvenirs oubliés, voire refoulés, d’un épisode historique constitutif de l’identité turque et les événements récents du printemps 2013 à Istanbul.
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