En 1948, Edith Piaf offre sa première caméra à Charles Aznavour. Elle ne le quittera plus. Jusqu’en 1982 Charles filmera des heures de pellicules qui formeront le corpus de son journal filmé. Aznavour filme sa vie et vit comme il filme. Partout où il va, sa caméra est là, avec lui. Elle enregistre tout. Les moments de vie, les lieux qu’il traverse, ses amis, ses amours, ses emmerdes.
Un homme sans attaches, rescapé d'un long périple, collecte des images ivres, morceaux épars d'une identité atomisée comme les territoires qu'il parcourt. Il s'épuise dans l'étrangeté de signes, de lieux, de langues insondables. Il n'y a pas de dieu ou d'indulgence dans ses nuits, mais l'acceptation qu'il n'y a que la chair.
Israéliens et Palestiniens, juifs, chrétiens et musulmans, ils sont avant tout musiciens. Partant du constat qu’il est maintenant impossible pour eux de se rencontrer en Israël ou dans les Territoires Palestiniens, le français Jean-Yves Labat de Rossi les invite à une tournée surprenante qui les réunira en France pendant trois semaines...
Manon, une adolescente de quinze ans, a rencontré Greg, un garçon de dix-sept ans. Lui habite Claviers, un petit village du Haut-Var, tandis qu'elle vit à Paris. La réalisatrice de "Coûte que coûte" et des "Bureaux de Dieu" filme leur romance : 800 kms de distance entre eux, mais surtout de différence...
_TITLE