Avec mélancolie, Sophie se remémore les vacances d’été passées avec son père vingt ans auparavant : les moments de joie partagée, leur complicité, parfois leurs désaccords. Elle repense aussi à ce qui planait au-dessus de ces instants si précieux.
Suite au décès de son père, Renée revient au Saguenay pour les funérailles. Obligée de vider la maison du défunt, elle découvre un fouillis inouï. Dans les six jours qui suivent, elle tentera de découvrir sa trace à elle au milieu de ce désordre.
Parce qu’il voulait protéger son petit frère d’un père trop violent, Teddy, un jeune sans histoire, se voit accusé du meurtre de son père et est envoyé dans un centre éducatif fermé, dans l’attente de son procès pour parricide. Il plonge alors dans un univers brutal dont il ne connaît pas les règles. Il fait la connaissance d’Enzo, le caïd du centre...
Borough Park, quartier juif ultra-orthodoxe de Brooklyn. Menashé, modeste employé d'une épicerie, tente de joindre les deux bouts et se bat pour la garde de son jeune fils Ruben. En effet, ayant perdu sa femme, la tradition hassidique lui interdit de l'élever seul. Mais le Grand Rabbin lui accorde de passer une semaine avec son fils ; l’ultime occasion pour Menashé de prouver qu’il peut être père.
Toujours en déplacement professionnel, le père de Sam n’est quasiment jamais à la maison. Pourtant, un lien très fort l’unit à son fils : il a en effet appris à Sam à faire sa valise en mettant le plus de vêtements et d’objets possibles ! Prix Fipresci au festival d'Annecy 2017, "Negative Space" est nommé aux Oscars 2018 dans la catégorie "meilleur court métrage d'animation".
A 11 ans, Ramasan est déjà un homme sous ses allures de petit garçon. Réfugié en Autriche avec sa mère et ses deux sœurs, il essaie de remplacer du mieux qu’il peut son père mort en Tchétchénie… L’arrivée d’Issa, un ancien ami de son père, va bousculer son quotidien.
Ponette a quatre ans lorsque sa mère meurt accidentellement. Cette absence lui est insupportable. Elle l'attend et la cherche. Avec une certitude, un entêtement de plus en plus grand. Personne ne pourra la convaincre de ne pas la retrouver.
J’avais vingt ans en 1995, l’année de la mort de mon père, le cinéaste Louis Malle. J’étais en khâgne. Au moment même où je commençais à tomber amoureuse d’un garçon de ma classe et à rejeter l’influence de mon père, sont apparus chez lui les premiers symptômes d’une maladie...
_TITLE