Journal intime de quatre mois que le photographe Antoine d'Agata a passés au Japon de septembre à fin décembre 2006. Chaque chapitre est consacré à une femme rencontrée. Ce sont des femmes de la nuit : actrices porno, prostituées, danseuses... Elles parlent de solitude, de nuit, de sexe, de trou noir et de mort.
Agnès Varda revient sur les plages qui ont marqué sa vie et nous offre une forme d'autodocumentaire, mélanges d'extraits de ses films, d'images et de reportages. De ses débuts de photographe de théâtre, puis de cinéaste novatrice, à sa vie amoureuse partagée avec Jacques Demy en passant par ses voyages, ses engagements, elle partage avec humour et émotion bien plus que de simples souvenirs.
Sur fond de campagne présidentielle, le récit d'une nouvelle rencontre amoureuse s'ajoute aux pages du journal intime du cinéaste. Diariste depuis toujours à travers le cinéma, du Super-8 au numérique, voilà ainsi Joseph Morder qui poursuit son "recensement" en images avec la caméra... de son téléphone portable. Un nouveau langage ?
Guy passe sa jeunesse en compagnie de sa sœur sur l'ile mystérieuse dont il héritera un jour. Ils partagent cet endroit avec une horde d'orphelins vivant en communauté dans un phare. Leurs occupations sont rigoureusement surveillés par la mère tyrannique de Guy, depuis le sommet du phare, pendant que son inventeur de père travaille jour et nuit dans le plus grand secret, au sous-sol...
Juillet 2006. Une guerre éclate au Liban. Une nouvelle guerre qui vient briser les espoirs de paix. De passage à Beyrouth, une icône du cinéma (qui n'est autre que Catherine Deneuve) demande à voir le sud du pays avant qu’il ne soit rebâti...
Des étudiants en cinéma tournent, dans une forêt, un film d’horreur à petit budget, lorsque la nouvelle tombe au journal télévisé : partout dans le pays, on signale des morts revenant à la vie. Signée George Romero ("La nuit des morts vivants","Zombie"), une nouvelle variation sur son thème préféré, où politique, ironie et satire de la société des images se glissent entre deux scènes d'horreur.
L'arrivée d'internet dans une famille bien perturbée fait exploser un peu plus les limites. Tourné en DV, le premier film d'une photographe et plasticienne renommée, n'ayant peur ni de la laideur, ni de la beauté, ni de la provocation.
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