Attilo est poète et c'est un grand rêveur. Chaque nuit, il voit sa femme idéale lui parler d'amour. Mais voilà qu'il la rencontre, en chair et en os, au cours d'une conférence. Aussitôt, il cherche à la séduire. Aussitôt, elle est inaccessible et s'évapore dans la nuit...
Accio, farouche et bagarreur, crée le désespoir de ses parents. Son frère Manrico, lui, est charismatique et aimé de tous, bien que tout aussi dangereux... Dans l'Italie des années 60 et 70, les deux jeunes hommes se battent sur deux fronts politiques opposés, aiment la même femme et traversent une période de leur vie faite de fugues, de retours, d’échanges de coups et de grandes passions.
Gianni, la cinquantaine, vit avec sa mère à Rome, où il s’occupe de tout. Acculés par les dettes, la copropriété menace de les expulser. Le syndic d’immeuble, Alfonso, propose alors à Gianni un marché insolite : garder sa mère pendant le week-end du 15 août, contre l’effacement de cette dette. Mais en plus de cette vielle dame, Gianni va devoir en accueillir d'autres...
La rencontre, le coup de foudre, la vie à deux, la crise, la séparation, à nouveau une rencontre… L'amour sous toutes ses formes décliné à l'italienne, c'est-à-dire avec du charme, de la passion, de l'excès et du panache. Viva l'amore...
Un obsédé sexuel prêt à subir toutes sortes d'humiliations pour s'introduire dans la maison de la prostituée itinérante qui séjourne dans le village... Un vieil homosexuel qui aimerait assister à la veillée funèbre de son amant... Un messie local errant dans la campagne, quelque peu enclin à prêcher et à faire des miracles. Tels sont les trois héros de ce film à sketchs farfelu.
Le retour du fils prodigue, version nord de l'Italie. Prenant conscience qu'à 36 ans, il n'a toujours pas trouvé ses marques d'adulte, Stefano attrape sa guitare et rentre chez lui. Las, là non plus tout n'est pas rose. Mais dans le Maelstrom familial, Stefano en portant les autres va se porter lui-même. Une comédie à l'italienne chaleureuse et réunificatrice.
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