Deux mini-dépressions de bonheur, plus l’attente de la troisième, suffisent à un cinéaste pour croire en une certaine beauté de la vie, ce qui entraîne un plaisir de la filmer. Tout est filmé sans hiérarchie, sans préférence : humains, arbres, dieux, maisons, jouets, légendes… à condition que l’amour veille.
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