Après son passage sur le plateau télévisé d’Apostrophes pour son livre "À l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie", Hervé Guibert se voit proposer de filmer en video, au jour le jour, son combat contre la maladie. De mai 1990 à mars 1991, l'écrivain consigne alors en images la violence d'un quotidien où son corps se dérobe. Le document fut diffusé à la télévision en 1992, un mois après sa disparition.
Mark, cinéaste, envoie depuis Berlin une lettre filmée à Sandra, peintre qui vit à Paris. Dans ce film, Mark évoque sa rencontre avec Sandra, derrière l’objectif d’une caméra, il montre son voyage à Berlin ; il leur raconte leur voyage à Rome à la recherche de leurs origines juives. Sandra est de plus en plus gênée par le filmage obsédant de Mark...
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