L'histoire débute dans les années 1960 et raconte des histoires de la communauté antillaise de Londres, confrontée à un environnement souvent hostile.
Bryon “Pitbull” Widner, ancien membre d'un gang de néo-nazis, doit affronter des conséquences mortelles en tentant de tourner le dos à une vie faite de violence et de haine. Il peut compter sur la femme qu'il aime et l'aide d'un activiste afro-américain.
En 1934, alors que les Afro-Américains subissent les lois ségrégationnistes, Jesse Owens vient travailler à l'université d'Etat de l'Ohio avec les meilleurs entraîneurs. Larry Snyder prend ce petit-fils d'esclave sous son aile. Son objectif : l'envoyer aux Jeux olympiques de Berlin...
Une évocation de la lutte menée par les Black Panthers dans l'Amérique des années 1960 et 1970 .
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes et les questionne. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes # En parallèle de ce documentaire (ici, la version sortie en salles, 2h), vous retrouverez en vod sur Universciné la version intégrale en 3 épisodes (1h20, 1h10, 1h14)
Dans les années 1960, le Dr Martin Luther King lutte pour garantir le droit de vote à tous les citoyens. Une dangereuse et terrifiante campagne qui s’est achevée par une longue marche, depuis la ville de Selma jusqu’à celle de Montgomery, en Alabama, et qui a conduit le président Jonhson à signer la loi sur le droit de vote en 1965.
Ce documentaire retrace l'évolution du mouvement Black Power de 1967 à 1975 au sein de la communauté noire. Le film associe musique et reportages (des rushes en 16mm restés au fond d'un placard de la télévision suédoise pendant plus de trente ans), ainsi que des interviews de différents artistes, activistes ou musiciens qui sont des piliers de la culture afro-américaine.
Durant sa jeunesse, Angela Davis est profondément marquée par son expérience du racisme, des humiliations de la ségrégation raciale et du climat de violence qui règne autour d’elle. Devenue un symbole de la lutte contre toutes les formes d’oppression : raciale, politique, sociale et sexuelle, Angela Davis incarne, dans les années 70, le " Power to People ".
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
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