Le travail. De tous, le pire qui soit parce que nié par notre société de consommation : celui de découpeur, tripier, tueur, désosseur, pareur, saigneur... Autant de spécialités que l’on retrouve dans un abattoir.
Le travail. De tous, le pire qui soit parce que nié par notre société de consommation : celui de découpeur, tripier, tueur, désosseur, pareur, saigneur... Autant de spécialités que l’on retrouve dans un abattoir.
Ouvriers, étudiants et jeunes s’opposent, en mai 1968, à la morale et au pouvoir en place. Ces images nous plongent au cœur des évènements et témoignent des hommes et des femmes qui, indignés jusque-là, marchent vers leur révolution.
Comme beaucoup de villages du sud de l'Italie, Riace a longtemps subi un exode rural massif. Un jour, un bateau transportant deux cents kurdes échoue sur la plage. Spontanément, les habitants du village leur viennent en aide. Petit à petit, migrants et villageois vont réhabiliter les maisons abandonnées, relancer les commerces et assurer un avenir à l'école...
Un film poème en 18 vagues, comme autant de scènes pour décrire Paris et ses paysages urbains traversés par un "jeune mineur étranger isolé", les attentats, les roses blanches, l'état d'urgence, le bleu-blanc-rouge, l'océan atlantique et ses traversées, les volcans, la beat-box, la révolte, la colère, la violence d’État, un chant révolutionnaire, le silence, et la joie… Rien que la joie.
Le réalisateur rencontre un groupe de migrants et compose, avec eux, un film en forme de journal intime, un requiem en souvenir de sa mère, une ode à la vie. Présenté à la Mostra de Venise, le film intègre des images du spectacle homonyme joué en France au Théâtre du Rond Point.
Aux frontières de l’Europe, des hommes et des femmes, déterminés, se battent pour surmonter les barrières que l’UE leur oppose. Nathalie Loubeyre filme les visages, les voix et les corps des «migrants». Ces acteurs de la migration sont des êtres humains qui nourrissent des rêves et qui sont exposés à de multiples violences physiques et symboliques.
Jackson Heights est l’un des quartiers les plus cosmopolites de New York. Ses habitants viennent du monde entier et on y parle 167 langues. Ce quartier incarne à lui seul la nouvelle vague d’immigration aux États-Unis et concentre les problématiques communes aux grandes villes occidentales comme l’immigration, l’intégration et le multiculturalisme.
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