El Hadi, 70 ans, raconte son passé au sein d'un groupe armé secret du FLN : règlements de comptes, tentatives d'assassinat, clandestinité, emprisonnement et déportation en 1962, l'histoire des ex-combattants d'Algérie et celle en train de s'écrire.
Alger, 2015. Adlan et Terrorist errent dans le quartier du Sacré Cœur. Ils ont hâte d'être au week-end et aux matchs du Mouloudia Football Club d'Alger.
Pendant la guerre d’Algérie, 2 350 000 millions de personnes ont été déplacées par l’armée française et regroupées dans des camps. De retour à Mansourah, son village natal, Malek collecte avec Dorothée-Myriam, sa fille, la mémoire de cet évènement.
Atlal désigné une une discipline poétique qui consiste à se tenir face aux ruines et à faire resurgir sa mémoire, ses souvenirs du visible vers l'invisible. Par ce biais, le film se souvient de la période noire, entre 1991 et 2002, pendant laquelle l'Algérie, en proie au terrorisme, a connu officiellement la perte de 200 000 vies.
Chaque été, ils sont nombreux à transiter par la mer entre la France et l’Algérie, entre Marseille et Alger. Des voitures chargées jusqu’au capot… des paquetages de toutes sortes… des hommes chargés de sacs et d’histoires. En mer, nous ne sommes plus en France et pas encore en Algérie, et vice-versa...
À la découverte des peuples autochtones africains, leurs traditions, leurs mœurs, leurs modes de vie. Tous vivent hors du temps et de l’occidentalisation. Tous préservent les coutumes de leurs ancêtres, et protègent leur univers de la mondialisation.
La bonne humeur - el gusto - caractérise la musique populaire inventée au milieu des années 1920 au cœur de la Casbah d’Alger par le grand musicien de l’époque, El Anka. Elle rythme l’enfance de ses jeunes élèves du Conservatoire, arabes ou juifs. L’amitié et leur amour commun pour cette musique les rassemblent pendant des années au sein du même orchestre jusqu’à la guerre et ses bouleversements.
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