Des comédiens amateurs se fourvoient dans le conflit bosniaque, un vieux cinéaste s'enlise dans un tournage en Espagne. Reste la musique de Mozart.
En 2011, la cinéaste découvre le travail du réalisateur espagnol José-Luis Guerin. «J’ai alors pensé à lui adresser une lettre, sous la forme d’une auto-fiction, pour tenter de saisir ce qui m’avait émue dans ses films. (…) J’ai entrepris de donner vie à ce que j’appellerais des rumeurs, sans m’obliger à toujours dire la vérité.» dit-elle. (Sélection Cannes 2013-Quinzaine des réalisateurs)
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