Rites mystérieux dans un pensionnat de filles, isolé dans une épaisse forêt, à l'abri du monde. Une allégorie envoutante, premier long métrage de l'auteur de "La Bouche de Jean-Pierre" qui laisse ici émaner de la douceur ouatée de ses séquences un malaise vénéneux.
Travailler et perdre son travail. Marcher, arriver, se saluer, se connecter ou chercher la connexion. D’Argentine au Mozambique, du Mozambique aux Philippines, l’errance de quelques jeunes gens pour lesquelles certaines choses semblent totalement égales. Dans cette quête sans hâte, quelque chose du mystère, de la poésie qui nous réunit tous, et pas seulement les êtres humains, va être dévoilé.
Dans l’effervescence de la capitale chilienne Santiago, pendant les années 1940 et 50, « Alejandrito » Jodorowsky décide de devenir poète contre la volonté de sa famille. Il est introduit dans le cœur de la bohème artistique de l’époque. Immergé dans cet univers d’expérimentation poétique, il y vit comme peu avant ces artistes avaient osé le faire : sensuellement, authentiquement, follement.
Les six frères Angulo ont passé toute leur vie isolés de la société, enfermés avec leurs parents dans leur appartement du Lower East Side à Manhattan. Tout ce qu’ils savent du monde extérieur, ils l’ont appris dans les films qu’ils regardent de manière obsessionnelle. Leur univers est sur le point de s'effondrer le jour où l'un des frères parvient à s'échapper.
Au cœur des montagnes Appalaches, où tout homme possède une arme et de quoi distiller de l’alcool, vit une légende : Jesco White. De maison de redressement en hôpital psychiatrique, la vie de Jesco se consume dangereusement. Pour le sauver, son père tente de lui apprendre la danse ou plutôt une version frénétique de claquettes sur de la musique country.
Dans les faubourgs d'une grande ville, un couple et ses trois enfants vivent dans une belle villa. Le père y a imposé une seule loi : ne jamais en sortir ! Un premier film iconoclaste et provocant qui a signé le renouveau du jeune cinéma grec.
_TITLE