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" A Beyrouth, sous la joie de vivre et la douceur, tout peut exploser..."

Le réalisateur Michel Kammoun a grandi dans le Liban en guerre et le cinéma fut pour lui "une soupape" et "son seul oxygène", dit-il. Dès que les canons se taisaient, je courais dans les ciné-clubs..." Dans son premier long-métrage, Falafel (2006), on retrouve cette sensation frénétique de ne pas perdre une minute de vie, surtout dans un Beyrouth où les humeurs de la guerre semblent toujours en suspension et où la vie est comme "en accéléré"...


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