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Le visage d'un maître

Dans Les Fraises sauvages, le jeune Bergman rend hommage au maître du cinéma suédois, Victor Sjoström, à qui il offre le rôle principal du vieux professeur. Il a soixante-dix-huit ans et sent déjà les attaques du mal qui va l'emporter. La fiction rejoint alors la réalité et le style même de Bergman est ici tel un acte de reconnaissance envers l'oeuvre qui l'a précédé. Le premier rêve du film renvoie à La Charrette fantôme qui fit le succès de Sjoström...


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