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Roy Andersson
Réalisateur • Scénariste
Sa biographie

Ses deux premiers titres (Une histoire d’amour, 1969 et Gilliap, 1975) sont trop anciens pour faire sens, mais les deux derniers, ainsi que ses deux courts, Quelque chose est arrivé (1986) et Monde de gloire (1991), sont d’une cohérence parfaite : aucune solution de continuité entre les uns et les autres ; plutôt que des œuvres différentes, ce sont plusieurs moments d’une même œuvre que nous propose Andersson, et des éléments de Monde de gloire pourraient être intégrés à Nous, les vivants sans que la suture apparaisse. Le label « cinéaste visionnaire » a été si souvent galvaudé qu’on n’ose plus guère le ressortir de la boîte à clichés. Difficile pourtant de trouver une appellation plus pertinente pour le qualifier. Il est un de ces peu nombreux, comme Aki Kaurismaki, reconnaissables au premier cadrage, à la première intonation du premier acteur du prégénérique – le silence avant Roy Andersson, c’est déjà du Roy Andersson. Procédé, griffe, marque de fabrique ? Plutôt réinvention complète et transmission d’un monde irréel à force de réalisme forcené – la référence à Otto D...
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