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Le soir du 31 décembre, Camille se trouve soudain renvoyée dans son passé. Elle a de nouveau seize ans. Elle retrouve ses parents, ses amies, son adolescence...
Camille a seize ans lorsqu’elle rencontre Éric. Ils s’aiment passionnément et Camille donne naissance à une fille... Vingt-cinq ans plus tard, Éric quitte Camille pour une femme plus jeune. Le soir du 31 décembre, Camille se trouve soudain renvoyée dans son passé. Elle a de nouveau seize ans. Elle retrouve ses parents, ses amies, son adolescence... et Éric. Va-t-elle fuir et tenter de changer leur vie à tous deux ? Va-t-elle l’aimer à nouveau alors qu’elle connaît la fin de leur histoire ?
Actrice, scénariste et réalisatrice, Noémie Lvovsky signe une comédie enlevée, habilement écrite entre failles de la mémoire et souvenirs indélébiles, jouant un peu pesamment avec la nostalgie de ces années 1980 qui ont furieusement tendance à remonter à la surface du cinéma d'aujourd'hui.
Arnaud Schwartz
Critikat.com
"(...) Camille redouble est en soi une bonne nouvelle pour le cinéma français : le genre du teen-movie, avec ses récits d’apprentissage et s...
"(...) Camille redouble est en soi une bonne nouvelle pour le cinéma français : le genre du teen-movie, avec ses récits d’apprentissage et ses codes adolescents, y trouve une place de plus en plus nette et probante dont Noémie Lvovsky est une référence. De ses débuts de réalisatrice (Petites, La vie ne me fait pas peur) à la révélation des Beaux Gosses de Riad Sattouf (2009) où elle jouait une mère enthousiasmée par les émois de son fils de quinze ans, tout un pan de sa filmographie est empreint d’un rapport à la trivialité adolescente, unique dans le cinéma français. Cet attrait pour la jeunesse revigore le naturalisme, qui fonctionne comme une norme du cinéma français depuis les années 1990, par une créativité pop l’obligeant à lorgner enfin vers un amour de la fiction moins restreint à la chronique, plus hybride. Ici, c’est un voyage temporel dans les années 1980 d’autant plus magique qu’il est le fait de Jean-Pierre Léaud qui offre sa malice à un personnage d’horloger comme sorti d’un conte. Comme le gardien d’un temps merveilleux du cinéma -la Nouvelle Vague- matrice d’un naturalisme qui va de Lvovsky à Bertrand Bonello en passant par Arnaud Desplechin. (...)"
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