Dublin, 1976. Neil & Paul ont la même ambition: devenir des rock stars. Mais Neil sait que Paul n’a pas la carrure, et que le nom de son groupe est ridicule: U2
Dublin, 1976. Neil McCormick n’en doute pas : une vie de rock star l’attend. Il est beau, jeune, talentueux. Un génie en herbe. Avec son frère, Ivan, ils vont créer Shook Up, le plus grand groupe de rock du monde ! Au même moment, Paul, leur camarade de classe, a les mêmes ambitions. Mais Neil sait que Paul n’a pas l’étoffe d’une star, que U2, le nom de son groupe est ridicule et que Bono le surnom dont il s’est affublé l’est encore plus ! Dans son ascension vers la gloire, Neil McCormick est persuadé qu’il les laissera loin derrière lui…
" Killing Bono évoque une face cachée du show business en rappelant que pour un groupe comme U2 qui a connu un succès mondial imprévisible, des milliers d'autres restent dans l'ombre. Le film de Nick Hamm détaille leurs désillusions avec une cruauté amusée mais impitoyable (...)."
Gérard Delorme
Le Point
" Killing Bono, récit autobiographique inspiré de la vie de Neil McCormick, est l'histoire amusante du loser parfait. Du poissard intégral a...
" Killing Bono, récit autobiographique inspiré de la vie de Neil McCormick, est l'histoire amusante du loser parfait. Du poissard intégral assoiffé de reconnaissance qui raconte ses déboires, lui qui eut tout faux, lorsque l'autre, Bono, eut tout bon.
L'argument, méconnu, rappelle que chaque triomphe cache ses laissés-pour-compte, ses desesperados qui ne vécurent jamais l'étincelle décisive. Avec ce film désopilant (...), la chance - via le cinéma - sourit enfin à Neil McCormick, qui, plus tard, poussa le masochisme jusqu'à écrire, sous un faux nom, l'histoire officielle du groupe U2."
François-Guillaume Lorrain
Le Nouvel Observateur
" Belle idée, inspirée d’une histoire vraie, que cette histoire de spectre négatif, riche en situations cocasses et clampins opiniâtres et s...
" Belle idée, inspirée d’une histoire vraie, que cette histoire de spectre négatif, riche en situations cocasses et clampins opiniâtres et savoureux. Bien que le cinéaste la déroule sans génie, il n’en étouffe pas la profonde sympathie qui s’en dégage et finit par sublimer le dernier tiers du film, particulièrement jouissif."
Guillaume Loison
Studio Ciné Live
"... cette « unsuccess » story reste aussi sympa et fougueuse qu’un mini-concert dans un pub irlandais."
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