Sur le chemin qui mène à la prison de Rovigo, Sergio repense à ses débuts dans la lutte armée, et aussi à la femme qu'il aime et qu'il s'apprête à libérer.
Venise, 3 janvier 1982. Sur le chemin qui mène à la prison de Rovigo, Sergio se remémore ses débuts dans la clandestinité, les débats fiévreux et engagés avec ses camarades, puis le passage à la lutte armée au sein de “Prima Linea”, l’une des principales cellules terroristes d’extrême-gauche. Et aussi de sa rencontre avec la femme qu'il aime et qu'il s'apprête à libérer par la force...
" [Renato de Maria] développe ainsi une distance réflexive, parfois subtile, parfois trop clignotante, qui exclut toute forme d'héroïsation douteuse pour mettre le doigt sur la dépossession de soi et le gâchis engendrés par cette implication extrême."
Amélie Dubois
Brazil
" Un film essentiel à l'ère Berlusconi pour ne pas reproduire les mêmes erreurs et décimer la Bête avec d'autres armes plus efficaces que ce...
" Un film essentiel à l'ère Berlusconi pour ne pas reproduire les mêmes erreurs et décimer la Bête avec d'autres armes plus efficaces que celle de la terreur aveugle."
Eric Coubard
Le Canard enchaîné
" La Prima Linea est un film à charge qui perd en ambiguïté ce qu'il gagne en audace."
" La Prima Linea est un film à charge qui perd en ambiguïté ce qu'il gagne en audace."
Jean-Baptiste Thoret
Avis
John Wayne
au sujet de
La Prima Linea
De quoi ranger définitivement le camarade P38 dans un placard à cauchemars. A mettre en parrallèle avec le formidable Buongiorno Notte de Marco Bellochio...
De quoi ranger définitivement le camarade P38 dans un placard à cauchemars. A mettre en parrallèle avec le formidable Buongiorno Notte de Marco Bellochio sur l'enlèvement d'Aldo Moro. (Bientôt sur Universciné ?)
Pour vous donner la meilleure expérience possible, ce site utilise les cookies. En continuant à naviguer sur universcine.com vous acceptez notre utilisation des cookies.
_TITLE
_CONTENT
Vous avez un bloqueur de publicités activé. Certaines fonctionnalités du site peuvent être perturbées, veuillez le désactiver pour une meilleure expérience.
De quoi ranger définitivement le camarade P38 dans un placard à cauchemars. A mettre en parrallèle avec le formidable Buongiorno Notte de Marco Bellochio...
Lire la suite