Agents des services secrets, Muriel et Philippe forment un improbable duo amoureux. Dans leur nouvelle mission, ils sont chargés de mettre la main sur une clé USB cachée par Constance, la veuve d’un trafiquant d’uranium fraîchement assassiné. Cette étrange ingénue conduira le duo dans un cours de chant lyrique devenu un véritable nid d’espions. Dans cette comédie d’espionnage, les cordes vocales se libèrent, les corps se débrident et les âmes se poursuivent.
" C’est avec un plaisir très communicatif que le réalisateur porte à
ébullition les désirs de chacun, mélange inopinément les corps, les
sexes, et fait se rencontrer des univers différents ; le choix des
acteurs, venus de cinémas très divers, est à ce titre révélateur.
Porté
par une énergie impromptue et inventive, qui ne trouve ses limites que
lorsqu’elle est tentée par une provoc un peu facile, Le Plaisir de chanter offre
un drôle de mélange des genres, se situant entre le cinéma de Rivette
(son goût des intrigues clandestines et du jeu) et les films du Dogme
(pour le côté instantané “cash”), et ose une liberté de ton rare dans
le cinéma français. Bref, art mineur et art majeur, variété et musique
classique cohabitent à merveille dans ce tourbillon orgiaque
irrésistible."
Amélie Dubois
Elle
"Sous couvert de polar, Ilan Duran Cohen filme avec vérité des gens
de 40 ans qui sont dans l'incertitude et la légèreté de leurs 20 ans."
"Alors qu'une tradition toujours vivace du polar consiste à glisser
entre les scènes utiles des notations insolites sur la vie privée des
protagonistes, Ilan Duran Cohen procède à l'inverse : son film « de
genre » présente un tout petit squelette narratif avec, autour,
beaucoup de chair, y compris au sens propre. L'écrivain-cinéaste peut
ainsi poursuivre et retoucher le portrait de groupe de La Confusion des genres :
des « adulescents » trentenaires ou quadragénaires, obsédés par la
fuite de leur jeunesse, machines désirantes mais sentimentaux
inconsolables derrière leur cynisme bourru. A ce jeu-là, Marina Foïs est imbattable, et Lorànt Deutsch se fait
voler la vedette masculine par un jeune risque-tout épatant, Julien
Baumgartner, en giton-gigolo flippé. Mais la plus belle partition
revient à Jeanne Balibar, aussi enthousiasmante que jadis dans Dieu seul me voit.
Lorsque son personnage, une néo-Arielle Dombasle, chante la version
française, écrite par ses soins, d'un tube des Pretenders, I'll stand by you, cela donne « L'amour est fou »,
entonné avec une foi de charbonnier qui triomphe du ridicule. Tout le
film est là : mi-ingénu, mi-pervers, un rien kamikaze, joyeusement
fleur bleue."
Louis Guichard
Paris Match
"Corps et âmes se mettent à nu dans cette comédie décapante, où le
thriller, le chant, le sexe et l'interrogation existentielle
s'entremêlen...
"Corps et âmes se mettent à nu dans cette comédie décapante, où le
thriller, le chant, le sexe et l'interrogation existentielle
s'entremêlent avec une authentique liberté de ton."
Christine Haas
Avis
John Wayne
au sujet de
Le Plaisir de chanter
Ce n'est pas parce qu'ils chantent mal ou qu'ils jouent lourdement qu'il faut éviter ce film, c'est parce que le scénario pète au-dessus de son cul, et...
Ce n'est pas parce qu'ils chantent mal ou qu'ils jouent lourdement qu'il faut éviter ce film, c'est parce que le scénario pète au-dessus de son cul, et qu'un pet n'a jamais fait un oratorio !
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Ce n'est pas parce qu'ils chantent mal ou qu'ils jouent lourdement qu'il faut éviter ce film, c'est parce que le scénario pète au-dessus de son cul, et...
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