Un père et sa fille vivent clandestinement dans une forêt. Un jour, ils sont forcés de retourner vivre en société. Ils doivent s'adapter à cette nouvelle vie.
Un père et sa fille vivent clandestinement dans une forêt de l'Oregon, limitant au maximum les contacts avec la société. Un jour, ils sont expulsés et se voient offrir un toit dans un village voisin. Alors que l'adolescente découvre avec curiosité cette nouvelle vie, son père refuse de s'intégrer. La jeune fille doit choisir entre les enseignements de son père et ce monde qui s'ouvre à elle.
"Leave No Trace est une balade qui célèbre et déplore la fin de l’enfance, un duo pour fille adolescente et père meurtri qui fait son œuvre si patiemment, si délicatement, qu’on n’en découvrira les effets durables que longtemps après la projection.
[...]La jeune actrice néo-zélandaise [...] Thomasin Harcourt McKenzie et Ben Foster trouvent une justesse harmonique jusque dans la tranquille discorde qui s’installe entre leurs personnages. La première délimite très nettement la singularité de son personnage, infiniment plus innocente que les autres adolescentes, mais aussi tellement plus sage. Quant à l’acteur qui avait déjà impressionné dans Comancheria, il porte avec une gravité un peu solennelle le poids de la maladie de l’ancien combattant."
Thomas Sotinel
Télérama
"On retrouve le minimalisme lyrique d’une Kelly Reichardt (Old Joy, Certaines femmes), la même grâce dans la façon de mettre au diapason pe...
"On retrouve le minimalisme lyrique d’une Kelly Reichardt(Old Joy, Certaines femmes), la même grâce dans la façon de mettre au diapason personnages et paysages. Adapté d’un roman qui fut tiré d’une histoire vraie, Leave no trace met en lumière l’Amérique des marges, peuplée de laissés-pour-compte ou d’oubliés volontaires, adeptes de la décroissance. Des êtres qui, comme Tom et son père, préfèrent ne pas laisser de trace."
Mathilde Blottière
avoir-alire.com
"Adoptant une structure classique dans sa construction narrative et l’élaboration des enjeux psychologiques et sociétaux, [Debra Granik] ne...
"Adoptant une structure classique dans sa construction narrative et l’élaboration des enjeux psychologiques et sociétaux, [Debra Granik] ne glisse pas pour autant sur la pente académique d’un certain cinéma indépendant, et témoigne d’une réelle originalité et de sens plastique, notamment dans l’utilisation des paysages de l’Oregon[...] Bien épaulée par son chef opérateur Michael McDonough, la réalisatrice donne alors à son film une teinte de « survival documentaire » qui n’a rien à envier à Seul au monde de Robert Zemeckis ou Arctic de Joe Penna, et contribue à la réussite du métrage. Il n’est pas superflu d’ajouter que les deux interprètes irradient l’écran : Thomasin McKenzie est une révélation, et Ben Foster prouve après Comancheria qu’il a l’étoffe des plus grands."
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