Après s'être débarrassé d'une horde de zombies, Tallahassee, Columbus, Whichita et Little Rock s'installent à la Maison Blanche, laissée à l'abandon. C'est un formidable terrain de jeu, mais bientôt la réalité se rappelle à eux. Alors que les zombies n'ont pas dit leur dernier mot, la bande rencontre Madison, une blonde un peu écervelée qui plaît beaucoup à Columbus. De son côté, Little Rock s'intéresse à Berkeley, qui a toujours de la marijuana sur lui et qui la conduit dans une zone dangereuse. Tallahassee et ses amis décident alors de ramener la jeune femme dans le droit chemin...
"Débordante d’esprit et d’ironie, cette comédie joyeusement gore (on y dégomme du zombie à tour de bras) est un plaisir auquel on succombe sans la moindre culpabilité."
Jérémie Couston
Les Inrockuptibles
"Avec une trame narrative aussi dépouillée que ses no man's lands post-apo, "Retour à Zombieland" exhibe au contraire les coutures de son un...
"Avec une trame narrative aussi dépouillée que ses no man's lands post-apo, "Retour à Zombieland" exhibe au contraire les coutures de son unique enjeu : faire rire (ce qu’il sait très bien faire lorsqu’il en a l’envie – c'est-à-dire pas toujours). De cette transparence décomplexée naît le charme insolent du film, qui fait éclore ce qui pourrait être son sujet souterrain : le rire comme ultime riposte face à l’ennui de la fin du monde."
Ludovic Béot
Première
"On revisite Zombieland comme un parc d’attractions fermé pour rénovation depuis trop longtemps, entre l’angoisse que son manège préféré ait...
"On revisite Zombieland comme un parc d’attractions fermé pour rénovation depuis trop longtemps, entre l’angoisse que son manège préféré ait disparu et l’envie de découvrir les nouveautés. Très conscient de son statut casse-gueule de suite qu’on n’osait plus espérer, le film trouve son équilibre en marchant rigoureusement dans le sillage du premier, distillant les évolutions au compte-gouttes : un zombie increvable par-ci (le bien nommé « T-800 »), des personnages originaux par-là (Zoey Deutch en hilarante écervelée, Rosario Dawson en fan d’Elvis). Ruben Fleischer remet sa petite troupe au centre de tout et façonne un crowd pleaser à l’humour auto-référencé, qui s’amuse de sa place à part dans l’embouteillage d’oeuvres consacrées aux morts-vivants. À quelques longueurs près, vite dissipées par un Woody Harrelson flamboyant, on attend la prochaine réouverture du parc avec impatience."
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