À Jérusalem, Saleem, un livreur palestinien et Sarah, une tenancière de café juive, sont amants. Ils sont mariés, l'un avec Bisan qui est enceinte, l'autre avec David, un officier de police israélien. La liaison entre Sarah et Saleem reste secrète jusqu'au moment où ils sont vus en train de se disputer dans un bar...
Après "Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin", film-enquête et choral sur l'assassinat en 1995 du Premier ministre israélien, Amos Gitaï a imaginé une « fable » sur le même sujet, nourrie par les souvenirs de Leah Rabin. Quatre protagonistes féminines, quatre voix associées dans un mode récitatif, « entre lamentation et berceuse » remontent le cours de l'Histoire et de la violence.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Vingt ans après l'assassinat d'Yitzhak Rabin, Amos Gitaï revient sur l'événement en le replaçant dans son contexte politique et sociétal. Un thriller politique.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Dans un camp de réfugiés palestiniens en Cisjordanie, Chloé, jeune sage femme québécoise accompagne les femmes enceintes. Entre les checkpoints et le mur de séparation, Chloé rencontre la guerre et ceux qui la portent de chaque côté... A leur contact, Chloé va progressivement remettre ses repères en question.
Un jeune arabe israélien, veut simplement s’amuser avec ses copains, passer des heures à discuter sur son portable et, surtout, trouver l’amour. Mais son père, cultivateur d’olives, veut qu'il le rejoigne dans son combat contre l'antenne installée dans un champ voisin par la compagnie israélienne de téléphone et qu'il soupçonne d'irradier les villageois.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
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