Pris dans le flux des embouteillages invraisemblables de Téhéran, un agent de la circulation tente tant bien que mal de faire respecter une interdiction de circulation.
12 ans après mai 68. Une grève comme tant d'autres. Plus qu'un simple documentaire, c'est une histoire poignante, vécue jour après jour de l'intérieur, et qui entraîne le spectateur au cœur des espoirs et des interrogations du monde ouvrier de l'époque.
"Adjustment and Work" s'attache à la formation des adultes sourds, aveugles et malvoyants dans le Centre de Formation E.H. Gentry. Par le travail effectué dans quinze secteurs différents, les apprenants gèrent peu à peu leur handicap. Frederick Wiseman se concentre, dans un second temps de son documentaire, au deuxième plus grand employeur de personnes aveugles, l’Alabama Industries for the Blind.
"The Store" s’intéresse au grand magasin Neiman-Marcus et à son siège social à Dallas. Entre réunions commerciales, stratégies publicitaires et formations du personnel, les rouages de cette vaste entreprise, qui assume la vente de beaucoup de produits de consommation pour les Américains, se révèlent peu à peu.
Douze minutes ; c'est le temps durant lequel nous suivons le parcours d'une tomate, depuis sa production dans la plantation de M. Suzuki, jusqu'à son point d'arrivée, décharge publique de l'île aux Fleurs. Film pamphlet, systématique et grinçant, ce court métrage dénonce la sous-humanité qu'entraîne l'économie de marché et les 13 millions de Brésiliens sous-alimentés.
La plus grande star de la danse française des années 1980 répète "Raymonda" dans la version de Noureev, "Four Last Songs" et "In the Middle", "Somewhat Elevated" de Forsythe, ainsi que "La Luna" de Béjart. Premier film d'une collection sur la danse imaginée par André S. Labarthe, l'homme de la série "Cinéastes de notre temps".
Dans une ancienne fabrique de clous de la banlieue de Hambourg, Neumeier fait travailler les danseurs du ballet de l’Opéra à son chef-d’oeuvre chorégraphique : La Passion selon Saint-Matthieu. Deuxième film d'une collection sur la danse imaginée par André S. Labarthe, l'homme de la série "Cinéastes de notre temps".
André S. Labarthe recueille les réflexions du chorégraphe pendant ses répétitions avec les danseurs du New York City Ballet et du Ballet de Francfort et se fait le témoin de la parole libre de l’artiste. Troisième film d'une collection sur la danse imaginée par André S. Labarthe, l'homme de la série "Cinéastes de notre temps".
Le danseur étoile et futur directeur artistique de l’Opéra de Paris révèle une personnalité et un talent hors du commun au travers d’une interview et d’extraits de répétitions et de représentations. Quatrième film d'une collection sur la danse imaginée par André S. Labarthe, l'homme de la série "Cinéastes de notre temps".
Depardon se raconte. Depuis la ferme de ses parents jusqu'aux images du Tchad, l'itinéraire d'un fils de cultivateur devenu réalisateur et photographe. En gros plan, l'oeil fixé sur ses souvenirs, il raconte les premières vingt années de sa carrière artistique.
En 1977, Claude Perdriel lance son quotidien "Le Matin Paris" (il disparaîtra en 1988). Depardon s'installe au cœur de la rédaction, juste avant sa première parution : entre mise en page, choix des sujets ou choix des titres, sa caméra saisit l'ébullition de la presse quotidienne et sa façon de filtrer l'information.
Durant tout le mois d'octobre 1980, le réalisateur a suivi le quotidien des photographes de presse et des paparazzi de l'Agence Gamma. À l'époque, l'actualité fut dense, entre campagne présidentielle et actualité culturelle. Planques, connivences, scoops... Depardon capte le jeu de chat et de la souris qui lie les dingues de l'objectif et leurs proies nommées Deneuve, Chirac, Richard Gere...
Wim Wenders filme et observe le couturier japonais Yohji Yamamoto. "Dans une seule veste de Yohji, il y a toute l'histoire de la veste... Mais le plus bouleversant pour moi fut de trouver des similitudes frappantes entre nos deux métiers.
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