Après "Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin", film-enquête et choral sur l'assassinat en 1995 du Premier ministre israélien, Amos Gitaï a imaginé une « fable » sur le même sujet, nourrie par les souvenirs de Leah Rabin. Quatre protagonistes féminines, quatre voix associées dans un mode récitatif, « entre lamentation et berceuse » remontent le cours de l'Histoire et de la violence.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Vingt ans après l'assassinat d'Yitzhak Rabin, Amos Gitaï revient sur l'événement en le replaçant dans son contexte politique et sociétal. Un thriller politique.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Tal, une jeune Française de 17 ans, vit avec ses parents à Jérusalem. Premier amour, première cigarette... elle profite de son adolescence quand un attentat éclate dans l'un des bars de son quartier. Choquée, elle écrit une lettre à un Palestinien imaginaire et la jette à la mer. De son côté, Naïm découvre la bouteille sur une plage de Gaza et décide de lui répondre.
Sanfur, palestinien, vit dans l'ombre de son frère Ibrahim, militant armé d'un réseau influent. Razi, qui recrute des informateurs dans les territoires occupés, s'en fait un allié, lui offrant l'estime et la bienveillance d'un père. Tentant d'assurer son rôle tout en restant loyal envers son frère, Sanfur va d'un camp à un autre, mais on découvre qu'il participe aux activités de son frère...
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Anna est enquêtrice dans l’armée israélienne. Quand elle confronte un officier d’élite à des accusations de violence gratuite à l’encontre d’un Palestinien, sa propre intégrité et sa détermination sont mises à l’épreuve.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Nimer, un étudiant palestinien réfugié clandestinement à Tel-Aviv, rencontre Roy un jeune avocat israélien. Ils s'éprennent l'un de l'autre. Nimer est confronté aux réalités cruelles de la communauté palestinienne - qui rejette son identité - et de la société israélienne - qui ne reconnaît pas sa nationalité...
Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme fait exploser une bombe. Israélien d’origine arabe, le docteur Amine opère les nombreuses victimes de l’attentat. Au milieu de la nuit, on le rappelle d’urgence à l’hôpital pour lui annoncer que le kamikaze est sa propre femme. Refusant de croire à cette accusation, Amine part en Palestine pour tenter de comprendre.
Au début de la première Intifada, quatre jeunes israéliens font partie d'une troupe de soldat envoyée à Gaza afin de "rétablir l'ordre", comme le leur assure leur commandant. La guerre semble encore être un jeu qui bientôt va se finir, et chacun pourra alors rentrer chez soi.
Toute la complexité du conflit israélo-palestinien dans le combat d’une famille palestinienne et de médecins israéliens pour sauver la vie de Mohammad, 4 mois, né sans système immunitaire et ayant besoin d'une transplantation de moelle osseuse au risque de mourir.
Un jeune arabe israélien, veut simplement s’amuser avec ses copains, passer des heures à discuter sur son portable et, surtout, trouver l’amour. Mais son père, cultivateur d’olives, veut qu'il le rejoigne dans son combat contre l'antenne installée dans un champ voisin par la compagnie israélienne de téléphone et qu'il soupçonne d'irradier les villageois.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
Yaron va bientôt être papa. Vouant un culte au corps et à la camaraderie masculine, il est policier d’élite israélien dans une unité anti-terroriste confrontée à une prise d'otages. Entre «l’ennemi arabe» et un groupe d'extrémistes Juifs, Yaron se trouve pris dans un faisceau de contradictions, dont il fait lui même partie. Un film fort et radical, Prix spécial du jury au Festival de Locarno 2011.
Dans le quartier d'Ajami, à Jaffa, cohabitent les trois religions. L'oncle d'Omar, Arabe israëlien, a tiré sur un membre important d’une autre famille et le jeune homme voudrait réparer ce drame...
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