Passionné de cinéma, Sammy Fabelman passe son temps à filmer sa famille, jusqu'à ce qu'il découvre un secret sur ses parents qui bouleversent ses certitudes.
Dans un documentaire qui mêle images d’archives familiales et animation, le réalisateur Arshad Khan revient sur sa relation complexe avec sa famille religieuse, en particulier son père, et sur comment vivre son homosexualité dans un milieu qui le rejette.
Gauthier, un jeune journaliste, apprend par sa mère qu'il serait le fils illégitime de Guy Jamet, un artiste de variété française ayant eu son heure de gloire entre les années 60 et 90. Celui-ci est justement en train de sortir un album de reprises et de faire une tournée. Gauthier décide de le suivre, caméra au poing, dans sa vie quotidienne et ses concerts de province pour faire un portrait.
Simon, 19 ans, rentre chez ses parents pour les vacances de noël. Dans le train, il a rencontré Marie, qu'il a invitée dans la maison familiale. Mais les retrouvailles ne sont pas si joyeuses que prévu et la fête cède la place à une série de révélations.
Les six frères Angulo ont passé toute leur vie isolés de la société, enfermés avec leurs parents dans leur appartement du Lower East Side à Manhattan. Tout ce qu’ils savent du monde extérieur, ils l’ont appris dans les films qu’ils regardent de manière obsessionnelle. Leur univers est sur le point de s'effondrer le jour où l'un des frères parvient à s'échapper.
Le réalisateur du "Chagrin et la pitié" lègue ses mémoires audiovisuels dans ce documentaire en forme d'autoportrait traversé par ses films, eux-mêmes nourris par l’Histoire (de la France de Vichy à l'Irlande en passant par la guerre des Balkans). Sans oublier le charme du monde, de la beauté de Venise à l’éclat de sa mère en passant par les souvenirs allemands de son enfance.
Guy passe sa jeunesse en compagnie de sa sœur sur l'ile mystérieuse dont il héritera un jour. Ils partagent cet endroit avec une horde d'orphelins vivant en communauté dans un phare. Leurs occupations sont rigoureusement surveillés par la mère tyrannique de Guy, depuis le sommet du phare, pendant que son inventeur de père travaille jour et nuit dans le plus grand secret, au sous-sol...
Journal filmé du cinéaste de "Palombella rossa" et "La Messe est finie". Tout commence le 28 mars 1994 (quand la droite a remporté les élections) et se termine en août 1997 (le jour de ses 44 ans). Pendant ce temps, le gouvernement a changé, un bébé est né, une comédie musicale est en gestation et un documentaire sur l'Italie est réalisé... Vive le cinéma !
Pour son anniversaire, Iva, seize ans tout juste, reçoit de la part de son beau-père un petite caméra vidéo. Immédiatement, elle braque son objectif vers les membres de sa famille en pleine implosion et tourne un film sur la soirée désastreuse qui se déroule sous ses yeux.
Grégoire Canvel a tout pour lui. Une femme qu’il aime, trois enfants délicieuses, un métier qui le passionne. Producteur, il révèle des cinéastes et accompagne les films qui correspondent à son idée du cinéma. Avec sa prestance et son charisme exceptionnel, Grégoire force l’admiration. Il semble invincible. Mais les dettes s'accumulent et une impression de lassitude et d'échec l'envahit.
Alice, une petite fille de deux ans, disparaît mystérieusement de la maternelle. Son père se lance à sa recherche. Il visionne et analyse systématiquement les bandes vidéos enregistrées par les caméras de surveillance de Lisbonne. Des milliers de visages d’enfants sont ainsi punaisés sur les murs de son appartement en quête obsessionnelle de celui d’Alice.
Mark Lewis est cameraman dans un studio cinématographique. Mais il est aussi obsédé par le désir de filmer la peur. Sa caméra devient une arme et les femmes filmées des victimes. Un chef-d'œuvre du film d'angoisse. #VersionRestaurée
Eric vit dans la banlieue de Stockholm avec son père. Ce dernier, amateur de films pornos, organise un tournage dans leur appartement. C'en est trop pour Eric, qui s'isole dans sa chambre où il élève des insectes. Le quatrième long-métrage du réalisateur de "Fucking Amal" et "Lilya 4-ever", en dynamitant les valeurs familiales, porte un regard acerbe sur le voyeurisme et la morale.
Simon Reggiani, 30 ans, a filmé Serge, 70 ans, chanteur et acteur célèbre, mais miné par l'alcool. De force, Simon a donc conduit son père à l'hôpital pour qu'il suive une cure de désintoxication : avec d'autres. C'est la fin des années 90. Simon a ses drogues, Serge ses démons, et le film enregistre leurs derniers instants d'intimité, dans un exercice d'autofiction.
Un père (et son fils) au dessus de tout soupçon sont-ils coupables d'abus sexuels ? Entre documentaire et journal intime, le portrait troublant de la désintégration d'une famille modèle américaine. Grand prix du jury du Festival de Sundance 2004, Nomination à l'Oscar du meilleur film documentaire 2004.
Le cinéaste mauritanien retourne a Sokolo, un petit village du Mali, retrouver son père à la veille de l'an 2000. Ses errances dans les ruelles sont le début d'une réflexion sur la relation jamais apaisée entre l'Afrique et l'Europe. Politique, contemplatif et lyrique, mêlant à la fois le documentaire et la fiction, un film profondément humain, sur l'Afrique d'aujourd'hui et de demain.
Un pornographe en vogue dans les années 70, se remet à tourner des films pornos à la suite de difficultés financières. Quelques années auparavant, son fils avait claqué la porte lorsqu'il avait découvert les véritables activités de son père. Le temps a passé. Aujourd'hui le fils a 17 ans, et ils se retrouvent au moment où l'un cherche comment finir sa vie quand l'autre cherche un sens à la sienne.
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