Le réalisateur Philippe Aractingi n'a eu de cesse de filmer les siens. Il a continué quand il a fallu quitter une nouvelle fois le Liban en guerre en juillet 2006. Le cinéaste s'était déjà exilé mais il était seul. Ce départ est vécu plus cruellement...
En 2011, Saeed et Milad, deux étudiants, décident de quitter Damas pour Douma, une banlieue sous le contrôle des rebelles et de prendre part à la révolution syrienne. Ensemble, ils créent une radio locale et un studio d'enregistrement. Ils subissent de plein fouet la guerre, le siège et la famine...
L'histoire de la Palestine, de son origine à aujourd'hui, loin de ce que les médias appellent le conflit israélo-palestinien. Experts internationaux, historiens, diplomates des Nations unies, juristes en Droit International mais aussi simples citoyens… De nombreux témoignages donnent un éclairage primordial basé sur des éléments factuels, pour se débarrasser des clichés et des idées reçues !
Waad al-Kateab est une jeune femme syrienne qui vit à Alep lorsque la guerre éclate en 2011. Sous les bombardements, la vie continue. Elle filme au quotidien les pertes, les espoirs et la solidarité du peuple d’Alep. Waad et son mari médecin sont déchirés entre partir et protéger leur fille Sama ou résister pour la liberté de leur pays.
À Beyrouth, au Liban, le couvre-feu est imposé aux travailleurs syriens, qui construisent un gratte-ciel, à partir de 19h. Tout contrevenant est puni par la loi. Alors qu'ils participent au renouveau de la capitale, les maisons dans leur pays en guerre tombent les unes après les autres...
Après la prise de leur pays par l’État Islamique en 2014, une poignée de journalistes citoyens anonymes se sont associés pour former le groupe "Raqqa is being Slaughtered Silently" ("Raqqa est assassiné en silence"). Plutôt que de s’exiler et fuir, ils tâchent de documenter la réalité chaotique et risquent leur vie pour résister face à l’un des plus grands fléaux modernes...
De juillet à décembre 2015, avec une équipe de cinéma, Bernard-Henri Lévy a remonté les 1000 kilomètres de la ligne de front qui sépare le Kurdistan irakien des troupes de Daech.
En Iran, depuis la révolution de 1979, les femmes n'ont plus le droit de chanter en public en tant que solistes. Une jeune compositrice, Sara Najafi, avec l'aide de trois artistes venues de France (Elise Caron, Jeanne Cherhal et Emel Mathlouthi), va braver censure et tabous pour tenter d'organiser un concert de chanteuses solo.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Toute la complexité du conflit israélo-palestinien dans le combat d’une famille palestinienne et de médecins israéliens pour sauver la vie de Mohammad, 4 mois, né sans système immunitaire et ayant besoin d'une transplantation de moelle osseuse au risque de mourir.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
À Ramallah, Raed, cinéaste palestinien, a un mal de tête constant. Mais ne serait-ce pas la région dans laquelle il vit qui favoriserait la "prise de tête" ? Le voilà décidé à faire un film de sa thérapie, déconcertant sa propre famille et ses amis.
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