Chaque année, Edgar et Marta organisent une grande fête dans leur luxueuse résidence d’été, à côté de Rio de Janeiro, orchestrée par leur gouvernante Mada et les autres employés de la maison. Mais, en trois étés, tout va basculer.
Bo et Ingrid survivent au meurtre de leurs parents. Devenus adultes, ils travaillent dans une mine de diamants dans laquelle ils découvrent le "White fire", une pierre mythique et convoitée, qui va leur attirer bien des ennuis.
Un groupe de travailleurs allemands débute un travail difficile de construction sur un site de la campagne bulgare. Cette terre étrangère éveille le sens de l'aventure de ces hommes, confrontés à leurs préjugés et à la méfiance des locaux à cause de la barrière de la langue et des différences culturelles. Les hommes vont alors tout faire pour tenter de gagner la confiance des habitants.
Chronique d'un été passé par cinq amis d'enfance dans leur ville natale. David et Holger, les deux inséparables, trouvent refuge dans la forêt et l’océan, pour oublier l’avenir. Jesper se croit devenu un fantôme pour ses proches. Jörgen finance sa petite entreprise en pillant des maisons. John, enfin, continue de penser qu’un peu de bacon suffit à son bonheur.
Haïti, début des années 80. Un petit hôtel sur une plage paradisiaque. Et quelques femmes, la quarantaine passée, pour qui la sexualité trouve là une terre d'asile dans les bras des beaux Noirs de la région...
Melé est chanteuse dans un bar, son mari Chaka est sans travail, leur couple se déchire... Dans la cour de leur maison, un tribunal a été installé. Des représentants de la société civile africaine ont engagé une procédure judiciaire contre la Banque mondiale qu'ils jugent responsables du drame qui secoue l'Afrique. Un film à la fois politique et poétique signé Sissako ("En attendant le bonheur").
Carl et ses amis ont l'intention d'acheter un hôtel de luxe. Arrivé en éclaireur à “Belhorizon”, Carl découvre que ce n'est qu'une modeste pension de famille tenue par un couple d'immigrés espagnols. Un premier film belge tout en ruptures de ton, clin d'oeil à Bunuel et à son “Charme discret de la bourgeoisie”, renouant avec le "réalisme magique" cher à André Delvaux.
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