Star du porno Gay, Jonathan Agassi apparaît à l'écran comme un homme sûr de lui, viril, désiré… Mais loin des plateaux de tournage, un autre Jonathan se révèle.
«M» comme Menahem, enfant prodige à la voix d’or, abusé par des membres de sa communauté. Quinze ans après il revient à la recherche des coupables, dans son quartier natal de Bnei Brak, capitale mondiale des Juifs ultra-orthodoxes. Mais c’est aussi le retour dans un monde qu’il a tant aimé, dans un chemin où la parole se libère… une réconciliation. Prix spécial du jury 2018 à Locarno.
Trois protagonistes de générations différentes, sourds ou entendants, mais aussi les chercheuses du Laboratoire de Recherche de Langue des Signes de l’université de Haïfa, s'expriment sur les langues des signes, de leur apprentissage à leur transmission. Une invitation à élargir notre perception des langues humaines.
Amos Gitaï se rend à nouveau, 35 ans après son documentaire "Journal de campagne", en Cisjordanie, pour rencontrer des associations de défense des droits de l'Homme. Celles-ci mènent des actions de résistances fragiles, qui rassemblent des activistes israéliens et palestiniens. Le film par lui-même est une recherche du chemin de la paix, une recherche de lumière au milieu d’une période sombre.
Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ? La réalisatrice israélienne Tamara Erde se fiait à l'histoire de son pays racontée à l'école, avec du recul elle a commencé à douter car elle ignorait tout de l'histoire palestinienne et de l'occupation. Elle pose ainsi sa caméra dans les écoles de ces deux pays qui s'opposent depuis plus de 69 ans.
Des cinéastes israéliens et palestiniens se lancent dans la réalisation de courts métrages, de fiction ou de documentaire, en équipes mixtes. Des films pour dépasser les clichés. Premier ensemble de courts métrages, Coffee prend prétexte du rituel du café pour chroniquer la vie quotidienne israélo-palestinienne.
L’Eau est un thème poétique et également un sujet très politique et violent. Elle illustre la capacité du cinéma à pénétrer les zones interdites. Ces films partagent avec le spectateur l’urgence et la nécessité de trouver une solution commune. Deuxième partie de l'ensemble de courts-métrages israélo-palestiniens "Coffee, Water and Sport", centrée sur le thème de l'eau.
Des cinéastes israéliens et palestiniens se lancent dans la réalisation de courts métrages, de fiction ou de documentaire, en équipes mixtes. Des films pour dépasser les clichés. Troisième ensemble de courts métrages, Sport est composé de trois documentaires et deux fictions.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
L'incroyable saga de deux cousins israéliens, Golan et Globus, partis fonder leur studio à Hollywood. De la série Z lamentable aux films présentés en compétition au Festival de Cannes.. Voici l’histoire de la "Cannon", fleuron inavouable des années 80, racontée par ses stars : Dolph Lundgren, Sybil Danning, Chuck Norris, Franco Nero... Mythique !
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
L'histoire de Munio Weinraub, père d'Amos Gitaï, jeune étudiant du Bauhaus qui, chassé par les nazis en raison de sa confession juive, se réfugie en Suisse. C'est là qu'il est accueilli et protégé par ce qui était alors le plus grand bureau d'architecture moderne suisse.
Toute la complexité du conflit israélo-palestinien dans le combat d’une famille palestinienne et de médecins israéliens pour sauver la vie de Mohammad, 4 mois, né sans système immunitaire et ayant besoin d'une transplantation de moelle osseuse au risque de mourir.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
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