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Ismaël Vuillard, en préparation pour un film sur Ivan, un diplomate atypique inspiré de son frère, est perturbé par le retour de Carlotta, un ancien amour disparu vingt ans plus tôt et dont il n'a pas réussi à faire le deuil. Sa relation avec Sylvia, sa nouvelle femme, s'en trouve dégradée et, peu à peu, sa raison vacille...
Frédi a perdu sa mère. Cette dernière lui a transmis un don, dont il ne veut pas entendre parler. Mais il se trouve peu à peu contraint de reconnaître que ses mains guérissent... Il s'interroge. D'où vient ce don ? Qu'importe, il l'accepte...
Antonia, qui revient sur son île natale à la suite de la disparition en mer de l'un des siens, est ballotée entre Ettore, son ancien amour, et Alexandre, un jeune homme mutique et lumineux. Cet ancrage dans le milieu masculin du nationalisme armé dérive alors vers une plongée dans les paysages du cap corse, personnage à part entière.
Une plage de Bretagne sous le soleil, un après-midi d'août. Un homme de quarante-cinq ans commence la construction d'un château de sable. Des différents endroits de la plage, trois personnes le regardent. Tous ont eu à vivre la perte d'un proche.
Sur la plage sombre et venteuse, Mémé prie, Maman hurle, les frangines s'en foutent, Lucas est seul. Pépé était bizarre comme type, maintenant il est mort. En sélection officielle à Cannes, prix du public à Annecy et César du meilleur court-métrage d'animation 2018.
À Brignogan-Plages, Zoé, 30 ans, travaille au bar Les Bigorneaux, avec son père, Guy. Tantôt serveuse, barman, patronne, elle s'épuise à tout prendre en charge, épaulant Guy depuis la mort prématurée de sa mère. Un matin, Zoé se met à souffrir de vertiges et de nausées qui perturbent son quotidien. Elle craint d’être tombée enceinte, mais sa gynéco lui apprend qu’elle souffre d’un tout autre mal.
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