Marseille, juillet 1905. Le jeune Marcel Pagnol vient d'achever ses études primaires. Dans trois mois, il entrera au « lycée ». Trois mois... une éternité quand on a cet âge. Car voici le temps des vacances, les vraies, les grandes !
Un groupe de travailleurs allemands débute un travail difficile de construction sur un site de la campagne bulgare. Cette terre étrangère éveille le sens de l'aventure de ces hommes, confrontés à leurs préjugés et à la méfiance des locaux à cause de la barrière de la langue et des différences culturelles. Les hommes vont alors tout faire pour tenter de gagner la confiance des habitants.
À la faveur de l’été, sur les rives d’un lac, des hommes se rencontrent, se séduisent et, parfois, s’entraînent dans le bois attenant. Franck, fraîchement débarqué, tombe sous le charme de Michel, un bel et mystérieux inconnu qu’il observe de loin... Prix de la mise en scène au Festival de Cannes en 2013.
Ils sont cinq à randonner sur le GR 20, dans les montagnes corses : Mathieu, qui espérait retrouver Bernadette, Louis, qui fuit une liaison orageuse, Eric, le guide, un homme marié qui s'autorise des escapades lors des randonnées qu'il organise, Nadine, amoureuse d'Eric qui la dédaigne, et Cora, qui rêve de rencontrer le grand amour. Les paysages sont somptueux mais le chemin difficile…
A la suite d'une chute de cheval, Livia, 15 ans, tombe éperdument amoureuse de Jean, le sapeur-pompier des Alpes-Maritimes, marié et père de famille, qui est venu à son secours alors qu'elle s'était évanouie...
Une nouvelle maison (en pleine nature), de nouveaux amis (pleins de vie)... une nouvelle sexualité (pleine de surprises) ? Quand on est mariés, heureux et fidèles depuis vingt ans, il est peut être temps de réinventer les règles du jeu... Par les frères cinéastes auteurs de 'Un homme, un vrai', une fable hédoniste qui a surpris le Festival de Cannes 2005.
Carl et ses amis ont l'intention d'acheter un hôtel de luxe. Arrivé en éclaireur à “Belhorizon”, Carl découvre que ce n'est qu'une modeste pension de famille tenue par un couple d'immigrés espagnols. Un premier film belge tout en ruptures de ton, clin d'oeil à Bunuel et à son “Charme discret de la bourgeoisie”, renouant avec le "réalisme magique" cher à André Delvaux.
_TITLE