Pascal Plisson parcourt le monde à la rencontre d'enfants atteints de divers handicaps, qui n'ont pas renoncé à leurs rêves. Que ce soit Maud en France ou encore Charles au Kenya tous se battent pour atteindre le but qu'ils se sont fixé...
Issus d’un institut médico-éducatif accueillant de jeunes autistes, les jeunes du groupe Astéréotypie dévoilent sur scène leurs univers détonants, encouragés par leur éducateur. Une aventure collective, comme un cri de liberté.
Ce film est le récit du combat d'une mère, Claire Doyon, contre la maladie de sa fille Pénélope : l'autisme, mais aussi contre les violences médicales. Mais peu à peu, cette mère abandonne son combat pour accompagner sa fille sur le chemin de la paix.
Catherine, Charles , Dorian et Océan sont des jeunes polyhandicapés. Ils n’ont ni la parole pour s’exprimer ni la marche pour se déplacer. En famille ou dans leur institution, ce film montre ces enfants vivre leurs relations au monde.
En Mayenne, Laurence vit avec son mari et ses deux garçons. Son rêve est de devenir championne de Viet Vo Dao, un art martial vietnamien. Malgré sa cécité et son trop peu de pratique sportive, elle va essayer de se donner les moyens d'y parvenir.
Trois soldats volontaires, Dmytro, Anatolii et Oleksii, sont en convalescence à l'hôpital militaire de Kiev. Représentant trois générations, trois milieux sociaux, trois régions différentes, ils parlent de leur avenir et de leurs projets.
Quand on a la trentaine, être indépendant semble tout à fait normal. Mais quand on a un chromosome en plus, ce n’est pas une évidence ! Stéphanie, Robin, Elise, Gilles-Emmanuel, Eléonore et Mario rêvent d’une vie ordinaire. Avec humour et sensibilité, ils nous racontent leur volonté et leur capacité à s’insérer dans la société et le marché du travail.
Aurélien est charmant, mais il est tourmenté. Aurélien est volubile, mais il est solitaire. Aurélien se sent inadapté, mais il a tout compris. Aurélien est autiste. Filmé, il a délié sa parole, libérant un chant d'une intensité prodigieuse, un miroir tendu vers nous.
Stéphane Haskell, qui a vaincu un handicap physique grâce au yoga, a filmé des prisonniers à San Francisco, les Massaïs du Kilimandjaro ou posé sa caméra dans les écoles franciliennes pour filmer cette discipline spirituelle et corporelle universelle...
Chaque année, plus de 3 millions de pèlerins se rendent à Lourdes. lls cherchent tous du réconfort et certains un miracle. C'est une exploration de la foi à travers le portrait de pèlerins des Antilles, du Nord, du Berry, des militaires, des gitans...
Percujam est un groupe de Rock'n Slam constitué de musiciens autistes et de leurs éducateurs. Le film mêle des images prises sur le vif pendant les concerts ou les répétitions à des témoignages face caméra des artistes. On parle de musique mais aussi des interrogations de ces artistes concernant l'avenir, l'amour et l'espoir d'une vie heureuse..
Des adolescents en ébullition, un super héros, des cascades, un peu de sensualité mais pas trop, un jeune en fauteuil roulant turbo speed, une fille populaire, un groupe de rock et quelques lapins pour les amateurs de nature... Normalement tout y est. S’il manque des choses, faites en part aux réalisatrices, elles le mettront dans le prochain film.
Trois protagonistes de générations différentes, sourds ou entendants, mais aussi les chercheuses du Laboratoire de Recherche de Langue des Signes de l’université de Haïfa, s'expriment sur les langues des signes, de leur apprentissage à leur transmission. Une invitation à élargir notre perception des langues humaines.
Entre réalité et fiction, "Touch Me Not" suit le parcours émotionnel de Laura, Tómas et Christian qui cherchent à apprivoiser leur intimité et leur sexualité. Ours d'or du festival de Berlin en 2018.
Vincent, un jeune homme atteint de trisomie, étudie pour travailler dans la restauration. Vincent cherche à devenir autonome, à trouver un emploi et, peut-être, à tomber amoureux. Son père le soutient dans sa démarche et sa recherche d'indépendance.
Anita, Rita, Ricardo et Andrés forment une bande de copains trisomiques qui partage les bancs de la même école depuis 40 ans. Mais ils aspirent à une autre vie. Ils voudraient juste pouvoir faire comme tout le monde: être autonome, gagner de l’argent, se marier, fonder une famille. Bref, qu’à plus de 50 ans, on ne les considère plus comme des enfants !
Éric Caravaca, comédien, enquête sur la mort de sa sœur en bas âge, une disparition qu'il n'a apprise qu'à l’adolescence et qui le hante depuis... Interrogeant ses parents et ses proches, il déroule le fil d'un non-dit profondément enfoui dans la famille, entouré de mensonges et de mystères. L’acteur questionne également l'inconscient collectif, et connecte son passé à l'Histoire.
"Ce film est adressé à mon ami Vincent, mort il y a dix ans. Vincent était sourd. Il m’avait initiée à la langue des signes. Je lui donne aujourd’hui des nouvelles de son pays, ce monde inconnu et fascinant, celui d’un peuple qui lutte pour défendre sa culture et son identité." Laetitia Carton
"Adjustment and Work" s'attache à la formation des adultes sourds, aveugles et malvoyants dans le Centre de Formation E.H. Gentry. Par le travail effectué dans quinze secteurs différents, les apprenants gèrent peu à peu leur handicap. Frederick Wiseman se concentre, dans un second temps de son documentaire, au deuxième plus grand employeur de personnes aveugles, l’Alabama Industries for the Blind.
"Blind" saisit le quotidien et le fonctionnement pédagogique de l'Alabama School, qui accueille des élèves aveugles. Les programmes s'étendent de la maternelle à la terminale, et l'objectif est de permettre aux enfants de devenir totalement autonome. Avec ce film, Frédérick Wiseman poursuit son exploration dans le monde de l'handicap. Il réalisera ensuite "Deaf", sur le monde de la surdité.
"Deaf" montre les méthodes de communication élaborées par l’Ecole pour les Sourds d’Alabama. Après "Blind", Frederick Wiseman continue de documenter les éducations et aides à l'handicap, et s’attache à filmer l’ensemble des moyens mis en place pour amener les enfants vers l'autonomie.
"Multi-handicapped" décrit les activités quotidiennes des élèves multi-handicapés de l’école Helen Keller. La principale mission de l’école est de satisfaire les besoins vitaux de ces enfants, mais aussi de leur apporter des leçons d'hygiène, de mobilité, de financement et de vie en communauté.
Dans un centre de rééducation, le cinéaste fait la rencontre de femmes et d'hommes amputés, qui sans relâche réapprennent à marcher ou à saisir. Un objet mécanique se substitue désormais à la partie manquante de leur corps. Ils sont devenus hybrides. Sélectionné au festival Cinéma du réel 2016
"I Dance With God" décrit le quotidien de Kak-Ali Badri, un vieil homme aveugle qui habite dans la province du Kermanshah en Iran. En dépit de sa cécité, il pratique le métier de tailleur depuis des années et a cultivé un très beau verger près de sa maison. "I Dance With God" nous montre la force d'esprit et la joie de vivre de Kak-Ali. [Film en version originale avec sous-titres anglais]
Un hôpital psychiatrique du sud-ouest de la Chine. Une cinquantaine d’hommes vivent enfermés traînant leur mal-être du balcon circulaire grillagé à leur chambre collective. Ces malades, déviants ou opposants, éprouvent au quotidien leur résistance physique et mentale à la violence d’une liberté restreinte. Wang Bing nous plonge dans la « folie » de la Chine contemporaine.
Artiste peintre, Flore est atteinte de la maladie d'Alzheimer depuis plusieurs années. Elle a été "enfermée" successivement dans deux institutions. Les traitements l'avaient rendue aphasique, muette, elle ne savait plus ni marcher, ni manger, ni sourire.
À quoi ressemble le monde pour les milliers de personnes qui vivent dans le silence ? Un voyage à la découverte de ce monde où le langage passe par le geste.
Au cours de l’été 1995, fidèles à ce qui est désormais devenu une tradition, pensionnaires et soignants de la clinique psychiatrique de La Borde se rassemblent pour préparer la pièce de théâtre qu’ils joueront le 15 août. Cette année, ils ont choisi d'interpréter «Opérette», de Gombrowicz.
_TITLE