Surprise ! Un jour, le père de famille ramène un joli rat en cage à la maison : allez savoir pourquoi, tout se détraque de plus en plus follement dans le petit pavillon si tranquille... Le premier long-métrage d'Ozon.
Une nuit, Ben, employé à la morgue, troublé par la fascinante nudité d'une gisante, lui fait l'amour... et la ramène à la vie. Contre toute attente, la jeune femme ne porte pas plainte, mieux encore, elle veut revoir son sauveur. Un étrange lien se noue alors, dans l'exaltation et la provocation de jeux érotiques inhabituels.
Sous couvert d’un micro-trottoir délirant, mené par un graphisme foisonnant et aux multiples influences (de l’Art brut en passant par le Surréalisme et le Pop Art, entre autres), un échantillon de personnages, parfois décalés, parfois sérieux, certains extrêmes et provocateurs, d’autres terriblement conventionnels, livrent leurs opinions sur la pornographie et l’obscénité.
C'est l'été, la fin de l'adolescence pour Henri qui ne part pas en vacances. En accompagnant sa soeur à la gare, il croise un homme qui l'attire aussitôt. Il découvre alors un autre monde, nocturne, masculin, traversé de désirs frustrés et de violences sexuelles. Henri devient l'ombre de Jean, se brûlant à son contact mais y cherchant le plaisir et, peut-être, l'amour.
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