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Une patronne de bar tombe amoureuse d'un bel Antillais mais son jeune fille se défie de ce nouveau père, noir "de surcroit"... On croyait le film disparu. Les bobines retrouvées et restaurées en 2017 révèlent l'un des rares films à évoquer avec réalisme le quartier de Belleville-Menilmontant, avec son rythme, sa mixité : un Paris populaire disparu, parcouru ici d'une poésie diffuse à la Doisneau.
Alain quitte la maison de santé où il a suivi une cure de désintoxication. Lydia, sa maîtresse, veut l’aider. Il se rend à Paris et commence à travers les bars et chez d’anciens amis une sorte de recherche de lui-même en remontant le passé.
Sous l'Occupation, Martin, ancien chauffeur de taxi en chômage, est devenu un homme à tout faire du marché noir à qui l'on confie le soin de transporter quatre valises pleines de porc, à l'autre bout de Paris. Son acolyte habituel, s'étant fait arrêter, Martin propose à un inconnu, Grandgil, de l'accompagner. Mais celui-ci se révèle vite incontrôlable et le trajet périlleux...
A la terrasse du café des Poètes, à Saint-Germain-des-Prés, Orphée, jeune écrivain, est témoin de l'étrange disparition d'un apollon de l'avant-garde littéraire, renversé par deux motards casqués et emmené dans la Rolls-Royce d'une mystérieuse princesse. Tandis que son épouse, Eurydice, se plaint de ses absences, Orphée erre dans Paris à la recherche de cette femme qui le fascine...
Jean Valjean, Fantine, Cosette, les Thénardier... les revoilà dans la première des trois parties d'une des plus célèbres adaptations du roman de Victor Hugo, miraculeusement sauvée et restaurée en 4K dans sa version intégrale originelle qui permet de retrouver pleinement la beauté visuelle recherchée par le cinéaste, souvent considéré par ses pairs comme le « D.W. Griffith français ».
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