Shlomi, un soldat israélien de dix-huit ans, fuit le champ de bataille pour rejoindre sa petite amie à Tel Aviv.
Ils parlent des langues différentes, leurs instruments sont cassés. Pourtant cet orchestre de 100 musiciens professionnels et amateurs, jeunes et vieux, entreprend un voyage vers un concert unique à Jérusalem...
De 1984 à 2006, deux familles, l’une libanaise, l’autre israélienne, sont prises dans la tourmente des guerres à répétition entre Israël et le Liban. Entre le sud du Liban et Haïfa, l'Histoire vient à la fois bouleverser et réunir les destins individuels.
Haifa, ville meurtrie et divisée d'Israël, accueille un endroit inconnu des non-initiés, loin des regards indiscrets. Cinq jeunes femmes se côtoient dans ce havre, entre conflits amoureux, non-dits, mensonges, et désirs de vengeance...
Ronen Matalon a une passion pour sa ville, Jérusalem. Il propose aux touristes, notamment japonais, des tours gratuits afin de découvrir les endroits où ont eu lieu des attentats dans la cité. Lors d'une visite, il rencontre Asia Mulan, une compatriote, exilée à Barcelone depuis 4 ans...
Un tramway relie plusieurs quartiers de Jérusalem. Dans ce moyen de transport, les habitants de la ville se rencontrent enfin et se livrent comme jamais.
Amos Gitaï se rend à nouveau, 35 ans après son documentaire "Journal de campagne", en Cisjordanie, pour rencontrer des associations de défense des droits de l'Homme. Celles-ci mènent des actions de résistances fragiles, qui rassemblent des activistes israéliens et palestiniens. Le film par lui-même est une recherche du chemin de la paix, une recherche de lumière au milieu d’une période sombre.
Naama, 17 ans, entretient des rapports difficiles avec ses parents, et sa sœur, enrôlée dans l'armée, a disparue. Son premier amour, Dana, va changer sa vie...
Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ? La réalisatrice israélienne Tamara Erde se fiait à l'histoire de son pays racontée à l'école, avec du recul elle a commencé à douter car elle ignorait tout de l'histoire palestinienne et de l'occupation. Elle pose ainsi sa caméra dans les écoles de ces deux pays qui s'opposent depuis plus de 69 ans.
Trois jeunes femmes palestiniennes partagent un appartement à Tel Aviv. Pour affirmer leur liberté, elles imitent les mœurs des hommes. Cependant le chemin les menant vers cette émancipation est parsemé d'embuches...
Moments de plaisir et désaccords, rêves et désillusions... Les différents membres d'une famille habitant d'un côté et de l'autre de la frontière israélo-palestinienne vivent tous leurs petits "histoires personnelles" qu'il faut régler. En sélection officielle Festival de Cannes 2016- Un certain regard, un premier film-mosaïque, ironique et charmeur.
Après "Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin", film-enquête et choral sur l'assassinat en 1995 du Premier ministre israélien, Amos Gitaï a imaginé une « fable » sur le même sujet, nourrie par les souvenirs de Leah Rabin. Quatre protagonistes féminines, quatre voix associées dans un mode récitatif, « entre lamentation et berceuse » remontent le cours de l'Histoire et de la violence.
Des cinéastes israéliens et palestiniens se lancent dans la réalisation de courts métrages, de fiction ou de documentaire, en équipes mixtes. Des films pour dépasser les clichés. Premier ensemble de courts métrages, Coffee prend prétexte du rituel du café pour chroniquer la vie quotidienne israélo-palestinienne.
L’Eau est un thème poétique et également un sujet très politique et violent. Elle illustre la capacité du cinéma à pénétrer les zones interdites. Ces films partagent avec le spectateur l’urgence et la nécessité de trouver une solution commune. Deuxième partie de l'ensemble de courts-métrages israélo-palestiniens "Coffee, Water and Sport", centrée sur le thème de l'eau.
Des cinéastes israéliens et palestiniens se lancent dans la réalisation de courts métrages, de fiction ou de documentaire, en équipes mixtes. Des films pour dépasser les clichés. Troisième ensemble de courts métrages, Sport est composé de trois documentaires et deux fictions.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Vingt ans après l'assassinat d'Yitzhak Rabin, Amos Gitaï revient sur l'événement en le replaçant dans son contexte politique et sociétal. Un thriller politique.
Au milieu de situations burlesques, un coup du sort : après une confusion à un check-point, deux jeunes femmes, une artiste et une ouvrière, vivant de chaque côté du mur de séparation, se retrouvent à vivre la vie de l’autre.
Israël, 1995, la paix est tangible. Dans la petite ville d'Atlit, Cali retrouve ses deux sœurs, Darel et Asia, pour vendre la maison héritée de leurs parents. Entre complicités et fou-rires réapparaissent les doutes et les querelles...
"Une chronique d'amour et de douleur" dit le sous-titre. A Nazareth, sous l'apparence d'une banale normalité, la ville est prise de folie. Pendant ce temps, une histoire d'amour se déroule entre un Palestinien qui vit à Jérusalem et une Palestienne de Ramallah... Prix du jury au Festival de Cannes 2002.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Tal, une jeune Française de 17 ans, vit avec ses parents à Jérusalem. Premier amour, première cigarette... elle profite de son adolescence quand un attentat éclate dans l'un des bars de son quartier. Choquée, elle écrit une lettre à un Palestinien imaginaire et la jette à la mer. De son côté, Naïm découvre la bouteille sur une plage de Gaza et décide de lui répondre.
Sanfur, palestinien, vit dans l'ombre de son frère Ibrahim, militant armé d'un réseau influent. Razi, qui recrute des informateurs dans les territoires occupés, s'en fait un allié, lui offrant l'estime et la bienveillance d'un père. Tentant d'assurer son rôle tout en restant loyal envers son frère, Sanfur va d'un camp à un autre, mais on découvre qu'il participe aux activités de son frère...
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Anna est enquêtrice dans l’armée israélienne. Quand elle confronte un officier d’élite à des accusations de violence gratuite à l’encontre d’un Palestinien, sa propre intégrité et sa détermination sont mises à l’épreuve.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Nimer, un étudiant palestinien réfugié clandestinement à Tel-Aviv, rencontre Roy un jeune avocat israélien. Ils s'éprennent l'un de l'autre. Nimer est confronté aux réalités cruelles de la communauté palestinienne - qui rejette son identité - et de la société israélienne - qui ne reconnaît pas sa nationalité...
Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme fait exploser une bombe. Israélien d’origine arabe, le docteur Amine opère les nombreuses victimes de l’attentat. Au milieu de la nuit, on le rappelle d’urgence à l’hôpital pour lui annoncer que le kamikaze est sa propre femme. Refusant de croire à cette accusation, Amine part en Palestine pour tenter de comprendre.
Au début de la première Intifada, quatre jeunes israéliens font partie d'une troupe de soldat envoyée à Gaza afin de "rétablir l'ordre", comme le leur assure leur commandant. La guerre semble encore être un jeu qui bientôt va se finir, et chacun pourra alors rentrer chez soi.
Toute la complexité du conflit israélo-palestinien dans le combat d’une famille palestinienne et de médecins israéliens pour sauver la vie de Mohammad, 4 mois, né sans système immunitaire et ayant besoin d'une transplantation de moelle osseuse au risque de mourir.
Un jeune arabe israélien, veut simplement s’amuser avec ses copains, passer des heures à discuter sur son portable et, surtout, trouver l’amour. Mais son père, cultivateur d’olives, veut qu'il le rejoigne dans son combat contre l'antenne installée dans un champ voisin par la compagnie israélienne de téléphone et qu'il soupçonne d'irradier les villageois.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
Beer Sheva, au sud d'Israël. Trois adolescents d'origines et de confessions religieuses différentes, vivent dans le quartier le plus défavorisé de la ville. Recrutés pour participer à la coupe de foot des jeunes, ils vont se rencontrer autour de Vasermil, le mythique stade de la ville.
Dans le quartier d'Ajami, à Jaffa, cohabitent les trois religions. L'oncle d'Omar, Arabe israëlien, a tiré sur un membre important d’une autre famille et le jeune homme voudrait réparer ce drame...
En affirmant sa double culture juive et arabe, Simone Bitton propose une méditation cinématographique sur le conflit israélo-palestinien. Sur le chantier aberrant du mur, les mots du quotidien et les chants du sacré, en hébreu et en arabe, résistent aux discours de la guerre et se fraient un chemin dans le fracas des foreuses et des bulldozers.
Trois jeunes Israéliens, Noam, disquaire, Yali, gérant de café, et Lulu, vendeuse dans une boutique de produits de beauté, partagent un appartement dans un quartier branché de Tel-Aviv, symbole de cette « bulle », surnom donné à la ville.
A l'image de son peuple, Selma la palestinienne ne possède plus grand chose sinon un champ de citronniers centenaires. Mais quand le ministre israélien de la Défense devient son voisin, même ceux-ci sont menacés. Question de sécurité. Décidée à faire valoir ses droits, elle va faire l'apprentissage de la lutte et de la liberté, contre tous les obscurantismes, de quelque camp soient-ils.
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