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Comment, dans la société iranienne contemporaine, l'amour et la sexualité se faufilent au travers des interdits de la tradition et de la religion ? Tel est le sujet de "Tabous" (1h10). Mais c'est également la question qui sous-tend "Juste une femme", court métrage documentaire de 26 minutes, portrait d'une transexuelle dans Téhéran.
Dominique Loiseau, accusé d'être le sixième membre d'un gang de ripoux, est condamné en 1991 à 12 ans de réclusion criminelle. La contre-enquête du journaliste Michel Naudy permettra à Loiseau d'être gracié en 1993 par François Mitterrand. Entre temps, en prison, le flic intègre se sera lié d'amitié avec Michel Vaujour, le roi de l'évasion.
Chaque année est organisée une course en Lozère : le Cross de l’amitié. Une journée très particulière où se mêlent les gens que l’on dit normaux et les autres. Moment de partage, de bonheur pour ces personnes trop souvent dans l'ombre.
Dans un centre social de la banlieue de Sao Paulo géré par l'Eglise évangélique, Giselle, une femme ayant des problèmes d'alcool, attend la décision de Valeria, l'assistante sociale. Celle-ci doit décider si Giselle peut avoir la garde de ses enfants, qui passent leurs journées au centre.
"J'ai passé quatre semaines, trois nuits et deux jours à tourner autour d'un pays qui porte deux noms: Israël / la Palestine..." Avec ce documentaire à la première personne, Danielle Arbid, cinéaste spécialiste du monde arabe, est partie à la rencontre d'une société meurtrie dont elle dresse un portrait objectif et réaliste grâce à de nombreux témoignages.
Ion Barladeanu, le roumain vagabond, vit dans la cour d'un immeuble, parmi les détritus des résidents. À le voir on ne se douterait pas que le sexagénaire est un des chefs de file du pop art. Cet ivrogne notoire conserve dans ses valises une multitude de collages accumulés depuis les années 1970...
Alors qu’il est malade d’un cancer, mon père m’annonce qu’il s’est programmé sa mort depuis longtemps. Voix et photographies s’entrechoquent pour essayer de faire sens. Une vision intime du deuil, une lettre adressée à un père décédé. Par la réalisatrice de "Les équilibristes" et "Lame de fond". Prix Qualité du Centre National du cinéma (2012).
Beyrouth est une ville formidable. On se croirait au centre de tout. À Beyrouth, entre 1975 et 1990, il y avait une guerre civile, c'est-à-dire tout le monde voulait exterminer tout le monde. Aujourd'hui, la guerre est finie. Elle s'est arrêtée, comme ça, après avoir gangrené nos vies. J'ai voulu filmer le vide qu'elle a laissé. Sa présence fantomatique. Cette plaie...
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