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Douze ans d'histoire de l'université de Vincennes, issue du mouvement de mai 1968, racontée par ses étudiants.
Poème de Jean-Pierre Thiébaud, illustré par ses photos
Amine, un jeune algérois, achète un caméscope dans une boutique d'Oran. Il filme des souvenirs de sa ville, de son appartement et, une dernière fois, des images de sa fiancée et de sa mère. Avec Malik, Lofti, Mohammed et Khalil, ils embarquent sur une barque de fortune pour traverser la Méditerranée. Caméra au poing, Amine filme les traces de leur voyage.
“Un éditeur, ça se définit par son catalogue”. Dans ce film, François Maspéro, Fanchita Maspéro et leurs collaborateurs, parlent de leur maison d’édition, des livres qu’ils fabriquent et de la manière dont ils conçoivent leur travail.
Les conditions de travail dans l’horlogerie KELTON-TIMEX : les ouvrières travaillant comme des marionnettes, les évanouissements, les accidents et en guise de prime de la « Nouvelle Société », Sylvie Vartan venant chanter à l’atelier...
Le premier film réalisé par les ouvriers du groupe Medvedkine. Il suit la création d’une section syndicale CGT dans une usine d’horlogerie par une ouvrière dont c’est le premier travail militant en 1968.
Compte-rendu à chaud des journées qui ont suivi le coup d’état du général Pinochet. A Santiago la peur se lit sur les visages. Des militants de l’Unité Populaire osent cependant parler, ébauchent des explications, font part au monde de leur détermination.
Dans les années 2020, à Paris, trois figures sont en quête de brèches poétiques et émancipatrices dans une société de plus en plus autoritaire et asphyxiée.
Ce film, réalisé par Bruno Muel avec les ouvriers du groupe Medvedkine de Sochaux raconte le tournant post-68 de la reprise en main néo-libérale et témoigne aussi de la lutte syndicale face à Peugeot.
Dans la pénombre d’une salle de spectacle, des visages écoutent... Une tour se dresse devant nous, vide, désossée. Pour quelques jours, des acteurs et un texte sont aux prises avec ce lieu géant...
En mars 1967 à Besançon, une grève éclate aux établissements Rhodiaceta qui font partie d’une chaîne d’usines de textiles dépendant du trust Rhône-Poulenc. Cette grève a pris un aspect inhabituel par son refus de dissocier le plan culturel du plan social.
Paris-La Défense. Pierre regarde par la fenêtre, depuis le 17ème étage de la tour où il travaille : un de ses collègues est assis sur un banc depuis des heures, sans bouger. Il vient de se faire licencier et ne semble pas vouloir rentrer chez lui.
Colette Magny, artiste engagée, chante le flamenco de la Rhodia.
À Las Cruces, un quartier défavorisé de Bogotá, la vie est trépidante et la tension quasi constante. Plongée dans un monde où la violence est quotidienne, mais où la joie et l'espoir n'ont pas disparu...
Portrait d'un militant de gauche assassiné dans une embuscade policière. Ce film fait un an après sa mort, retrace à travers le témoignage de ses camarades de lutte et de ses amis, la vie et l’histoire politique de Carlos Marighela.
Cinq ans après mai 68, les ouvriers de Lip se lancent dans une folle entreprise d’autogestion qui a un retentissement immédiat.
Félix, Ana et Seydou vivent dans le même immeuble HLM sans se connaître. Une panne d’ascenseur va les réunir jusqu'à un dénouement tragique.
Léo, un an et demi, est le fils du directeur d'une usine de produits chimiques. Lorsque l'on annonce aux ouvriers que l'usine va fermer, l'un d'eux, Bruno, décide d'enlever Léo afin de faire pression sur le directeur.
Le 26 septembre 1992, les tours du quartier des Écrivains ont été détruites. Au printemps 1991, Dominique Cabrera avait proposé à plusieurs anciens habitants de ces tours de revenir sur leurs pas. En 55 minutes, ils racontent et se racontent...
Une interview du président chilien Salvador Allende, après son élection en 1971, par Régis Debray.
À la poste, les habitants des 4000 à La Courneuve attendent leurs allocations. L’argent circule, l’argent manque. Les jeunes postiers, salariés ordinaires, reçoivent de plein fouet le choc de la pauvreté de l’autre.
Préface du BONHEUR de Alexandre Medvedkine, l’expérience du ciné-train d’Alexandre Medvedkine qui roula durant 294 jours, filmant les problèmes de la révolution russe et du développement économique de 1930.
Mylène, 45 ans, est femme de ménage sur un ferry. Ce soir, ses collègues lui ont organisé une fête surprise pour son anniversaire. Mais sur l'enveloppe qu'on lui tend, il y a l'ancien prénom de Mylène, son prénom d'homme, son ancienne vie. Qui peut vouloir trahir sa trans-identité ?
À Bologne, un groupe de vieux "jeunes" décident d'occuper le centre de loisirs qu'ils fréquentent quotidiennement. Le propriétaire des lieux veut les expulser, tandis qu'Antonio, le leader de la fronde, est prêt à aller jusqu'au bout. Entre les deux parties, Luce, la réalisatrice d'un curieux documentaire, qui fait office de médiatrice...
11 juin 68. Après 22 jours de grève, la police investit les usines Peugeot à Sochaux : deux morts, cent cinquante blessés. Des témoins racontent.
Dans une usine de contacteurs éléctroniques, les conséquences sur la vie des ouvriers, de la pression des grandes entreprises sur les petites : les cadences s’accélèrent, la tension monte...
Un film écrit, joué et rêvé par le groupe Medvedkine de Sochaux, composé de jeunes ouvriers travaillant à la chaîne aux usines Peugeot et de techniciens du cinéma.
Réjane fait le ménage dans une tour au Val Fourré. En l’écoutant, en regardant ses gestes et en suivant ses pas, on voit ce que c’est qu’être aujourd’hui une femme de quarante-cinq ans sur un fil !
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