Henri est en pleine crise de la cinquantaine. À l’heure où il fait le bilan critique de sa vie, de toutes les femmes qu’il n’aura plus, des voitures qu’il ne conduira pas, un énorme chien mal élevé et obsédé décide de s’installer dans la maison, pour son plus grand bonheur mais au grand dam du reste de la famille...
Charlot, pris pour un pickpocket, se réfugie dans un cirque et déboule sur la piste en plein spectacle. Son arrivée fait rire le public et le directeur l'engage aussitôt comme clown. Charlot tombe amoureux de l'écuyère mais celle-ci préfère Rex, le funambule...
Deux mini-dépressions de bonheur, plus l’attente de la troisième, suffisent à un cinéaste pour croire en une certaine beauté de la vie, ce qui entraîne un plaisir de la filmer. Tout est filmé sans hiérarchie, sans préférence : humains, arbres, dieux, maisons, jouets, légendes… à condition que l’amour veille.
Dans une maison au milieu de la mer, une femme attend son amoureux. Fasciné par les profondeurs qu'il représentait dans des tableaux, le jeune homme est parti en voyage. Il découvre les mystères et l'excitante beauté de la mer, sans savoir s'il pourra un jour retrouver sa bien-aimée.
Un jour, un cinéaste fait un rêve. Il rêve qu'il fait un film qui contiendrait tous les films qu'il a rêvé de faire. Tous les films inachevés, tous les essais tentés et abandonnés ou refusés, tous les projets impossibles se retrouveraient en un film construit à la manière d'un rêve, immense fresque de l'inabouti. A l'arrivée, une oeuvre-somme qui ressemble à une Odyssée intime.
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