Dans un petit village de Yougoslavie pendant la Seconde Guerre mondiale, une jeune fille nommée Lenka survit en compagnie de son jeune frère aveugle, Miscia âgé tout juste de 5 ans, et trouve refuge auprès d'un étudiant devenu partisan, Ivan.
En 1941, dans une petite ville d'Ukraine, Anna Semionovna écrit une lettre à son fils, physicien célèbre parti travailler dans un institut de sciences soviétique. Médecin, russe et juive, elle évoque son mariage malheureux, la naissance de son fils, l'arrivée des Nazis, l'incrédulité criminelle de certains Juifs, sa judéité, etc. Ce sera sa dernière lettre...
En pleine occupation allemande, Marion Steiner ne pense qu'à la pièce de théâtre qu'elle doit monter depuis que son mari, Lucas, juif allemand, s'est enfui. En réalité, il s'est réfugié dans les sous-sols... En 1981, le film aux 10 César ! Derrière le grand spectacle romanesque, une réflexion sur le pouvoir qui réunit tous les thèmes intimes de Truffaut. Version remastérisée en 2014.
L'histoire vraie du peintre et faussaire en art, Han Van Meegeren, qui a extorqué les Nazis de millions de dollars en leur vendant des contrefaçons de célèbres peintures. D'après l'ouvrage "The Man Who Made Vermeers", de Jonathan Lopez.
1975. À Rome, Claude Lanzmann filme Benjamin Murmelstein, dernier Président du Conseil Juif du ghetto de Theresienstadt, seul « doyen des Juifs » à n’avoir pas été tué durant la guerre. 2012. Lanzmann, à 87 ans, met en scène ces entretiens de Rome en revenant à Theresienstadt, ghetto mensonge inventé par Adolf Eichmann pour leurrer le monde.
Berlin, avril 1945. Le IIIe Reich agonise. Les combats font rage dans les rues de la capitale. Hitler, accompagné de ses généraux et de ses plus proches partisans, s'est réfugié dans son bunker, situé dans les jardins de la Chancellerie...
Fuyant la montée du nazisme, Marion, sa soeur Tilly et leur mère, quittent Berlin en 1937 pour Zurich puis Paris. Tilly y diffuse de la propagande anti-fasciste sur une station de radio clandestine allemande et Marion chante dans un petit bar parisien des chansons interdites. Mais l’idéologie fasciste s’étend comme une pieuvre…
Le cinéma allemand de 1914 à 1933, reflet des troubles qui agitent alors «l'âme allemande». Tiré de l’essai critique de Siegfried Kracauer publié en 1947, ce documentaire offre ainsi une lecture sociologique du cinéma allemand de l'entre-deux-guerres.
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