Malgré un début de carrière d’écrivain prometteur, Ryota accumule les désillusions. Divorcé de Kyoko, il gaspille le peu d’argent que lui rapporte son travail de détective privé en jouant aux courses, jusqu’à ne plus pouvoir payer la pension alimentaire de son fils de 11 ans, Shingo. A présent, Ryota tente de regagner la confiance des siens et de se faire une place dans la vie de son fils...
Un voyage dans la jeunesse et les souvenirs intimes d’une grand-mère illustre le statut des femmes slovènes pendant la première partie du vingtième siècle.
Alice, quatre-vingt-huit ans, vit seule chez elle depuis la mort de son mari. Elle a décidé de rester dans sa maison et va demander à son voisin de la filmer dans ce maintien à domicile. Tantôt drôle, tantôt grave, la vieille femme en fin de vie livre ses pensées et ses réflexions face à la caméra. Ce film a obtenu une mention du Jury des Jeunes au Festival Cinéma du Réel 2015.
Pour fêter les cent ans de la "Madre", enfants, petits enfants, cousins... se réunissent dans la traditionnelle demeure familiale. "Maman" n'est pas dupe. Elle sait que certains l'aiment et... que d'autres veulent en finir définitivement avec elle. Une Maman emblématique qui est, peut-être aussi, la vieille carcasse d'une Espagne franquiste qui a du mal à mourir !
Durant la seconde guerre mondiale. Un vieux couple de retraités vivant isolé dans les Alpes accueille Claude, un petit réfugié parisien. "Pépé" n'est antisémite que parce qu'il est trop sensible à la propagande de Vichy. Or, le petit garçon est juif...
L'oie blanche et Mamie Tromblon partent à la chasse (à l'homme)... Mais c'est peut-être la jeune naïve qui est plus féroce que la grand-mère indigne, veuve noire de longue date, trucidant ses riches maris pour mieux goûter la liberté... La réalisatrice de "La Nouvelle Eve" et "Partir" s'essaie à la comédie noire, entre influences anglaises, burlesque et féminisme débridé.
Histoire d’un voyage à Venise qui n’en est pas un ou comment fuir le travail monotone et oppressant qu'on retrouve chaque lundi matin, les usines qui nous étouffent et les mots qui ont peu de poids ? Par la fantaisie. Chez Iosseliani, le monde est une chanson à boire, les princes sont de pauvres gens, les ouvriers des marins seigneurs et les vieux des trésors vivants.
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