Gangster, poète, cinéaste : Wakamatsu, 1936-2012 — L'enfant terrible du cinéma japonais
Un temps yakuza, Kôji Wakamatsu devient cinéaste après avoir purgé une peine de prison, en jurant de faire du ciné1
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Trois étudiants décident de se rebeller contre la société et d’assouvir sans la moindre gêne leurs désirs sexuels...
Trois étudiants décident de se rebeller contre la société et d’assouvir sans la moindre gêne leurs désirs sexuels. Ensemble, en ville ou en campagne, ils vont chercher des jeunes femmes à violer. Puisque cette société les ignore et demeure incapable de les écouter, ces étudiants imposent leurs volontés quitte à braver les autorités.
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" 1969 est une année faste pour Wakamatsu. Il réalisa 11 films. Violence sans raison est l’un de ceux-là. Réalisé en quelques jours seuleme
" 1969 est une année faste pour Wakamatsu. Il réalisa 11 films. Violence sans raison est l’un de ceux-là. Réalisé en quelques jours seulement, avec un budget plus que limité, et un scénario minimaliste, le film est pourtant plus complexe et profond que son pitch peu inspiré peut laisser paraitre (...) c’est d’abord une ambiance. Un sentiment d’enfermement, de castration, de prison. Le cadre de Wakamastu est acerbe, froid, étroit. Dès la première minute, on sent que quelque chose ne tourne pas rond, malgré la relative frivolité des dialogues et des situations. La musique est omniprésente, tour à tour angoissante (la chanson sur la prison d’Abashiri qui revient en fil rouge du début à la fin) ou plus légère avec des compositions très jazzy et psychédéliques. La réalisation de Wakamatsu est très inspirée malgré la promiscuité visible de l’entreprise. Elle sert à merveille le propos de ce film, et c’est là la plus grande qualité de Violence sans raison.
C’est un film amer, ironique, méchant et contestataire. Les trois personnages principaux sont des jeunes de 19 ans ne pensant qu’à une seule chose : les femmes. Ils veulent faire l’amour, tout le temps. C’est d’ailleurs leur sujet de conversation principal pendant tout le film. Toutes les scènes de dialogue entre les trois personnages sont exceptionnelles de méchanceté. Wakamatsu montre une jeunesse oisive, égoïste, sans aucune conscience politique (...) On est frappé par la modernité du propos autant que par le cynisme de ce Violence sans raison, décidément très surprenant."
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