Óscar Ruiz Navia : " Je montre Cali aux spectateurs du futur"
VIDEO | 2015, 7' | Fiction aux airs de documentaire, Los Hongos promène une caméra légère dans les faubourgs color1
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Chérif est un adolescent rebelle et solitaire. Mais toutes les nuits, des graffeurs oeuvrent sur les murs de la ville. Un nouveau monde s'offre à lui...
Chérif, 15 ans, rebelle et solitaire, est placé chez son oncle et sa tante à Strasbourg, où il doit reprendre son CAP maçonnerie. C’est sa dernière chance. Très vite, dans cette nouvelle vie, il étouffe. Mais toutes les nuits, des graffeurs oeuvrent sur les murs de la ville et un nouveau monde s’offre à lui... Prix Louis-Delluc 2013 du meilleur premier film.
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" C’est en mêlant ces deux registres a priori antagonistes, en croisant la fibre Pialat (celle de Passe ton bac d’abo
" C’est en mêlant ces deux registres a priori antagonistes, en croisant la fibre Pialat (celle de Passe ton bac d’abord) avec un imaginaire de teenage rebellion plus américain, que le film trouve sa vibration originale. Sans jamais s’appesantir, épousant une économie narrative proche au fond de la série B, Vandal parvient ainsi à incarner avec une rare acuité un environnement social et urbain, tout en ménageant son contrechamp fictionnel : des scènes de graff explosives, bruyantes, électriques, scandées par les hymnes rap d’une bande-son affolante. Une manière d’hybrider les genres qu’il applique également à son casting : autour de son héros Chérif, incarné par l’inconnu et admirable Zinedine Benchenine, Vandal convoque tout un réseau d’acteurs célèbres en figurants (Jean-Marc Barr, Marina Foïs ou Ramzy Bédia) et bouleverse l’habituelle répartition des rôles dans le cinéma français. "
Romain Blondeau" Parmi les charmes de Vandal, celui de ne pas être fixé dans un seul registre n’est pas le moindre. A sa mani&egrav
" Parmi les charmes de Vandal, celui de ne pas être fixé dans un seul registre n’est pas le moindre. A sa manière iconoclaste en douceur, le metteur en scène développe un art de conjuguer les contraires, ménageant une vraie filiation avec le cinéma français mais ouvrant grand les fenêtres sur un au-delà formel, accueillant d’autres contaminations. Derrière la membrane d’un récit aigu et même coupant, un profond lyrisme sourd, qui éclate plus amplement dans certaines scènes très inspirées. "
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