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Un jeune homme débarque dans un complexe industriel près d’une frontière. Il décide de rester mais semble tourmenté par un secret qu’il n’arrive pas à avouer...
Un jeune homme débarque dans un "combinat énergétique", gigantesque chantier à ciel ouvert, complexe industriel situé près d’une frontière. Aidé par un ingénieur qui le prend sous son aile, et attiré par une barmaid, il décide de rester. Mais il ne s’intègre pas à l’équipe d’ouvriers. Il semble tourmenté par un secret qu’il n’arrive pas à avouer...
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Le film s’ouvre sur un paysage désertique qui s’étend à perte de vue, uniquement borné par un ciel nuageux qui ne présage rien de bon en ce
Le film s’ouvre sur un paysage désertique qui s’étend à perte de vue, uniquement borné par un ciel nuageux qui ne présage rien de bon en ce qui concerne l’avenir du personnage principal qui s’y détache. Par la grâce d’une photographie noir et blanc très contrastée, Wojciech Has rend l’horizon anormalement sombre afin de signifier le peu de perspectives d’un pays qui se lance pourtant à corps perdu dans la modernité. Preuve est donnée de cet essor économique par la présence d’imposants décors industriels totalement déshumanisés, dans lesquels évoluent des êtres visiblement sans boussole. Sorte de road-movie immobile, L’or de mes rêves, cinquième film de Wojciech Has et rare scénario original qu’il a filmé, ne se déploie pas en fonction d’une trame narrative bien définie."
"Perdu comme le personnage principal dans un entre-deux à la lisière du fantastique, le spectateur doit faire preuve d’une réelle capacité d’abstraction pour saisir toutes les nuances d’une oeuvre aussi riche formellement qu’intellectuellement. Belle interrogation sur le temps qui passe, les occasions manquées et l’Histoire que l’on préfère oublier (notamment l’évocation de la culpabilité polonaise vis-à-vis des camps d’extermination), L’or de mes rêves (1961) est sans nul doute le film le plus difficile d’accès de son auteur par son absence de dramaturgie traditionnelle. Il recèle pourtant des trésors inestimables, telle qu’une très profonde réflexion sur l’existence, la culpabilité et le besoin de trouver un sens à sa vie. Wojciech Has touche donc une fois de plus à l’essentiel avec ce cinquième opus à découvrir de toute urgence pour tout cinéphile qui se respecte."
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